C’est un des aspects du plan santé lancé par Emmanuel Macron. La réforme devra notamment permettre de lutter contre les déserts médicaux, contre le manque de généralistes, y compris en ville, mais aussi contre l’engorgement des urgences.
Toute une série de mesures ont été annoncées qui nécessitent de s'organiser collectivement :
- l’envoi dans certaines zones de 400 médecins salariés par les centres hospitaliers,
- la création des métiers de coordinateurs de soins et d’assistants médicaux
- le mise en place du label "hôpital de proximité "
- la refonte des études médicales avec la fin annoncée du « numerus clausus »
Est-ce suffisant ? Est-il vraiment possible de garantir à l’ensemble de la population un accès aux soins ? Y-a-t-il d’autres solutions ? Lancé en Saône-et-Loire, le modèle des médecins salariés peut-il se décliner ?
Pour en débattre, Lilian Melet reçoit :
- Fadila Khattabi, députée LREM de Côte-d’Or, membre de la commission des affaires sociales à l’Assemblée Nationale
- André Accary, président (LR) du Conseil Départemental de Saône-et-Loire, qui a décidé d’innover en salariant une trentaine de généralistes
- Le docteur Aurélien Vaillant, (MG France) président du groupement des professionnels de santé du Pays Beaunois
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Gérard Larché de France Assos Santé
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