En partenariat avec FIP et le Rocher de Palmer

DjeuhDjoah & Lieutenant Nicholson 

Ce duo venu de la région parisienne est à l'origine du son electronic soul afropéenne. DjeuhDjoah, Georges-Olivier de son prénom et Lieutenant Nicholson, Nicolas de son prénom et fils de Laurent Voulzy, se sont connus sur une tournée de Ours et ils sillonnent les routes de France depuis. Leur nouvel album, Aimez ces airs est sorti en mars dernier. Sur des instrumentations groove et jazzy, mâtinées  par des rythmiques africaines et des déhanchements antillais, les deux acolytes s'échangent le micro. 

Maya Kamaty

Pandiyé, le titre de son deuxième album signifie suspendu et cela convient bien à la musique de la Réunionnaise Maya Kamaty. Une suspension, un équilibre entre pop, trip-hop et maloya, genre musical typique de La Réunion, chanté en créole. Il faut dire que Maya a de qui tenir : son père, Gilbert Pounia, est le leader du groupe Ziskakan et sa mère, Anny Grondin est une conteuse renommée. Un héritage dont elle n'a pas toujours voulu : hôtesse de l'air  puis étudiante à Montpellier, c'est durant son cursus universitaire que le démon de la musique l'a rattrapée. Instruments traditionnels de la Réunion, racines maloya, soupçons de Radiohead, Portishead ou Björk : Maya Kamaty trace sa propre voie/voix.

Cotonete

En portugais, "cotonete" signifie "coton-tige" : ce collectif vous invite donc à bien vous nettoyer les oreilles avant de les écouter.  Fondé en 2005, octet à géométrie variable, le son vintage de leur groove et leur maturité musicale les ont inspirés : ils se sont auto-proclamés meilleur groupe français des années 70 né au XXIe siècle  ! Tout simplement.