Dimanche 22 mars à 11.25 et 12.55 sur France 3 Bretagne

A 11h25 > Aurélien Ducroz, de la poudreuse à l'écume

Portrait du sportif de haut niveau Aurélien Ducroz. Ce champion chamoniard de freestyle s'est pris de passion pour la course au large. Un film aussi intense que vertigineux.

« J'ai 36 ans et j'ai toujours vécu mes passions », Aurélien Ducroz.

La première passion d’Aurélien Ducroz, c’est le ski sous toutes ses formes. Presqu’une évidence puisqu'il a grandi auprès d’une mère monitrice de ski et d’un père guide de haute montagne. Son don précoce pour la glisse et sa ténacité l’amènent vite en haut des podiums : par deux fois, il décroche le titre de champion du monde de freeride et à quatre reprises, il remporte l'xtrême de Verbier.
Ce sportif de haut niveau aurait pu se contenter des émotions fortes de cette discipline qui se pratique sur des pentes vertigineuses, mais sa soif d’inconnu et son goût pour les expériences nouvelles lui font découvrir un nouveau terrain de jeu : la course au large. Aujourd'hui, il se dit à 50 % skieur et à 50 % skipper. Ce film raconte comment Aurélien Ducroz partage sa vie entre « la latitude neige et la longitude mer » et comment il conjugue sa passion pour ces deux milieux, hostiles, dangereux, puissants et envoûtants.

A 12h55 > Tara aux sources du plastique
Dans cette émission, Littoral s’intéresse aux déchets plastiques et aux conséquences sur notre environnement. L'équipe du magazine embarque à bord du bateau mythique Tara, qui fait escale à Lorient. Après plusieurs expéditions sur toutes les mers du globe, la goélette a délaissé les eaux salées pour s’aventurer durant 6 mois sur 9 grands fleuves européens. L’enjeu : remonter à la source des déchets et des micros- plastiques pour mesurer leur impact sur la biodiversité marine et le vivant. Depuis sa création, la Fondation Tara mène une véritable révolution scientifique en participant au développement d’une science entièrement dédiée à l’étude des océans. 

suivi de : Une croisière immobile
Les ports, les chantiers et les cimetières de bateaux regorgent d’épaves non recyclables que les propriétaires tardent le plus souvent à envoyer vers un circuit de destruction onéreux. Alors que faire de son bateau de plaisance quand il est hors d’usage ? Face au port de Nantes, à Trentemoult, Didier Toqué, professionnel du déchet, propose une alternative astucieuse : transformer des bateaux en fin de vie en hébergements insolites.

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