Temps fort
Devenir le 4ème constructeur automobile mondial, voilà le but de cette union.
L'intérêt pour PSA, l'ouverture du marché américain. Mais faut-il craindre des suppressions d'emplois ?
Les chiffres sont impressionnants : le nouveau groupe emploiera 410 000 salariés, produira 8,7 millions de véhicules par an pour un chiffre d'affaires de 170 milliards d'euros.
PSA s'ouvrira le marché américain et surtout, atteindra ainsi la taille critique pour des investissements lourds, notamment pour la voiture électrique.
Mais, en cas de doublon, les syndicats craignent des suppressions d'emplois.
Nous tenterons de répondre à cette question : ce mariage suscite des craintes ou des espoirs ?
Catherine Eme-Ziri ouvre le débat avec ses 2 invités :
Didier Klein, professeur à l'UTBM (Université Technologique de Belfort-Montbéliard) responsable de Nord Franche-Comté Industrie
Jérôme Broussard, secrétaire général de la CGT à Sochaux
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