Certaines zones rurales, villes ou quartiers peu attractifs manquent de médecins. Pourquoi ?
Comment les attirer ? En obligeant les jeunes médecins à s'y installer ? Les maisons de santé sont-elles l'une des solutions ?
Régulièrement, dans le journal régional, nous parlons de ces endroits qui n'ont pas plus ou pas assez de médecins. Des cabinets vendus pour un euro symbolique. Des cabinets éphémères. Des initiatives de communes qui mettent des locaux à disposition ou paient une partie des études de médecine contre la promesse que le jeune diplômé y installe son cabinet...
Quelles sont les motivations pour une installation d'un jeune médecin ?
De quels moyens disposent les élus pour faire venir des médecins ?
Faut-il les obliger à s'installer dans un désert médical ?
Les maisons de santé où la pratique se fait à plusieurs médecins avec d'autres professionnels de santé, est-elle l'une des solutions ?
Voici quelques-unes des questions auxquelles tenteront de répondre nos invités :
-Martine Voidey, maire (DVG) de Voujeaucourt : la commune finance une partie des études d'un jeune contre la promesse qu'il s'y installe.
-Patrick Vuattoux, médecin généraliste à Besançon, vice-président national de AVEC, Association des Equipes Coordonnées en Santé.
-Nicolas Kury, médecin généraliste installé dans une maison de santé à La-Cluse-et-Mijoux, dans le Haut-Doubs, près de Pontarlier.
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