Communiqué de presse
- Partagez 'Nous, gens de la terre : « Wallis-et-Futuna, petit pays je t’aime beaucoup »' sur Facebook
- Partagez 'Nous, gens de la terre : « Wallis-et-Futuna, petit pays je t’aime beaucoup »' sur X
- Partagez 'Nous, gens de la terre : « Wallis-et-Futuna, petit pays je t’aime beaucoup »' sur LinkedIn
- Partagez 'Nous, gens de la terre : « Wallis-et-Futuna, petit pays je t’aime beaucoup »' par email
Ils sont Français originaires d'Outre-mer. Ils sont agriculteurs ou éleveurs. Personne ne connaît leur histoire, personne ne connaît leur quotidien et, pourtant, tous ont des défis communs à relever : contribuer à l’autosuffisance de leurs territoires, diversifier leurs cultures, s’adapter aux changements climatiques ou encore parvenir à une agriculture plus durable.
Ces femmes et ces hommes, avec leur histoire et leurs identités, ont créé un patrimoine agricole qu’il s’agit de valoriser. Car, eux, plus que d’autres, n’ont eu de cesse de se réinventer et de s’adapter à un monde qui change.
« Nous, gens de la Terre », fait escale à Wallis-et-Futuna.
Depuis de nombreuses années, Wallis-et-Futuna se vide de ses jeunes. Ils sont nombreux à prendre le large vers d’autres pays, attirés par la promesse d’une vie meilleure.
Pourtant, certains ont décidé d’inverser la tendance et de redonner une chance à leur territoire.
Poussés par leurs aînés et formés dans des jardins pédagogiques, des jeunes femmes et des jeunes hommes ont fait le choix de graver leur avenir dans la terre.
Longtemps mise de côté, uniquement utilisée pour des cultures vivrières telles que le manioc ou l’igname, celle-ci est aujourd’hui redécouverte pour la culture maraîchère : tomates, salades, concombres et autres. La demande est immense, car, ici, à Wallis-et-Futuna, tout est importé.
Jordan, Mamalu et Sefo l’ont bien compris, eux qui ont entrepris de se lancer un jour à leur compte.
Trois destins parallèles, trois jeunes qui feront tout pour mener leur projet à bien.
Jordan a 17 ans et entrevoit dans le maraîchage l’un des meilleurs moyens de subvenir aux besoins de sa fille.
Mamalu, après un an de formation, s’apprête à prendre son envol. Il y a quelques mois encore, il ne pensait pas pouvoir vivre de l’agriculture.
Sefo, lui, n’a jamais douté que son destin était lié à cette terre. La cultiver, c’est marcher dans les pas de son père, un pionnier parti trop tôt, l’un des premiers agriculteurs de l’île.
« Petit pays, je t’aime beaucoup » est un hymne à la jeunesse, une jeunesse qui se questionne et s’interroge, une jeunesse qui doute mais qui rêve aussi, qui s’investit et entreprend…
Réalisé par Matthieu Maillet
Produit par 13 Productions, en coproduction avec Art & Vision Productions
52 min
2019