ZIK TRUCK

Lauriane Léocadie 
26 ans, originaire de Sainte-Marie, elle habite à Saint-Pierre. 
Elle chante depuis toujours. Elle a commencé les cours de chant à l’âge de 11 ans. Elle a ensuite fait des études en métropole et depuis son retour dans l’île, elle chante dans un groupe d’amateurs, tous passionnés de musique.

Katucia Robert
18 ans, née à Saint-Benoît, elle réside au Tampon.
Elle a commencé à chanter à l’âge de 11 ans et la musique a été sa première passion.
Par la suite, elle a appris à jouer de plusieurs instruments : piano, guitare, ukulélé.
Elle a envie de séduire le public par sa musique, avec l’espoir de faire voyager les esprits.

Jonathan Dijoux
23 ans, Originaire de La Plaine des Cafres.
Il chante depuis sa tendre enfance et pour l’anecdote avant même de marcher !
Il adore chanter la variété pop française, anglaise et les chansons. Il cherche surtout apporter sa touche personnelle en s'accompagnant avec sa guitare.

Vanessa Cadar
34 ans, habite Piton Sainte-Rose
Elle aime la musique, le chant et les travaux manuels.
Elle a été  très tôt attirée par la musique car ses parents et sa grande sœur chantaient tout le temps. A 9 ans elle se voyait artiste… mais de nature très timide et réservée, elle chantait en secret, jamais devant les gens.
Depuis 2 ans, elle est inscrite à l’école de musique de Piton Sainte-Rose, où elle fait partie d’une chorale d’adultes.

Kanasel
30 ans, habite à Saint-Benoît
D’abord passionné par le dessin, à 17 ans, il se plonge dans la musique (guitare et chant) via la chorale de son lycée et il est encouragé par sa famille.
Ensuite, il a vécu pendant 10 ans à Albi, où il a  fait ses premières scènes pour lancer sa carrière artistique comme auteur-compositeur-interprète. Il y a un an, il est revenu vivre à La Réunion. 

Olivia Dubard
22 ans, habite au Tampon mais originaire de Saint-Joseph où elle a grandi.
Elle a eu la musique en héritage : son père joue de plusieurs instruments et sa mère chantait autrefois dans le groupe familial. Ils ont donné le goût de la musique à ses frères et sœurs et à elle aussi. Elle a d’abord pratiqué la danse (classique et moderne jazz) pendant 15 ans ce qui lui a permis de découvrir la scène. A l’âge de 10 ans, son père lui a fait donner des cours de piano pendant 6 ans et c’est alors qu’elle a découvert son amour du chant. Dans la vie, elle est infirmière.

Emilie Ducrot
33 ans, habite à Saint-André, mariée, elle a 2 enfants.
A 11 ans, elle a commencé les cours de chant avec Laurence Beaumarchais qui lui a fait découvrir sa voix. Puis elle a eu la chance de faire une formation vocale avec Davy Sicard.
A 18 ans, elle est entrée à la Star Academy mais, ne se sentant pas prête, elle a décidé d'en partir.
Aujourd'hui, elle est déterminée à reprendre les rênes pour faire la seule chose qu'elle sait faire…chanter.

Whiite
Jeune artiste de 24 ans originaire de Saint-André, il s’est lancé dans la composition et l’interprétation de ses propres morceaux depuis plus de 6 ans. Il fait ses débuts avec des freestyle solo sur youtube puis sur Facebook en 2012 sous forme d’exercice de style.
Repéré sur les réseaux par un ami qui lui donna des conseils d’écriture musicale, il travaille son style et se tourne vers le dance hall et le reggae en s’accompagnant à la guitare.
A travers ses chansons, il évoque les difficultés de notre société et tous nos problèmes du quotidien.  
On l’a entendu dans l’émission One Time de Rodee Cox sur  Radio Réunion La 1ère puis au Salon de la Maison 2018 et aussi  concours de Créa Son à l’Université.

Hugo Brujaille-Latour
17 ans, il habite à Saint-Denis depuis 7 ans. Auparavant, il vivait aux Antilles où il est né. 
Il  chante depuis son plus jeune âge que ce soit à la maison ou sur scène. C'est une passion qui l'a aidé à grandir pour s’accompagner à la guitare depuis 11 ans maintenant. Il aime beaucoup le sport, du basket en compétition et la course à pied. Il écoute plusieurs styles de musiques les récentes comme les anciennes. Il pense que le temps n'influe pas sur la musique et que les émotions d'une bonne chanson resteront à jamais.

Léa Noël
21 ans, elle est née à Paris, mais toute petite,  elle est revenue aux sources de sa famille à l’île de La Réunion.
Elle a une relation très fusionnelle avec la musique qui est l’amour de toute une vie. C’est dans ce domaine qu’elle se retrouve, qu’elle s’éclate et qu’elle s’exprime. Elle joue également de la guitare qui l’aide à trouver l’inspiration pour ses compositions. Sa passion pour le gospel et la musique soul est née de l’écoute des vinyles d’Aretha Franklin de la collection de son père et sur lesquels elle se déhanchait déjà à l’âge de 4 ans.

Amandine Séraphine
19 ans, de Saint-André
Elle a commencé réellement à chanter quand elle était à l’école primaire. Pour la petite histoire, avec ses amis de  l’école Auguste Lacaussade de Saint-André, à la pause de midi ils donnaient des petits concerts dans la cour de récréation! Tout le monde venait les regarder et ils se sentaient déjà stars... la belle époque ! Et c’est alors qu’elle s’est rendue compte que la musique lui était vitale!
Aujourd’hui, elle est bien évidemment passionnée de musique mais elle adore aussi le football! Elle s’intéresse à tous les genres de musique mais son coeur chavire plus particulièrement « pou la misik mon péi », donc pour la musique kréole qui a le pouvoir de guérir les maux de l’âme grâce à ses zolis fonkèrs!

Amandine Buffi
28 ans, habite à Saint-Gilles
Elle a commencé à chanter toute petite et elle chantait surtout très fort ! Elle allumait la sono de ses parents et se mettait au micro pour crier plus fort !   
Lors de son adolescence la musique ne l'a jamais quittée. Elle a toujours voulu participer aux concours de chant et en particulier aux TV crochets
 

Alex Sorrès
Alex Sorrès, musicien et chanteur, dévoile la face cachée du Maloya par un rap ou le flow perce les travers de la société réunionnaise. 
Jeune tchatcheur, il fait évoluer son rap fiévreux grâce à des textes en créole et français. 
En 2013, il a crée avec un ami un studio son dans un container pour enregistrer des albums et EP. 
 

Maya Pounia

Il paraît loin le temps, tout juste dix ans, où la « môme Pounia » (du nom du fondateur du célèbre collectif réunionnais Ziskakan), alors étudiante à Montpellier, sortait du bois et faisait, comme choriste, ses premiers pas sur scène.

 Depuis, Maya a retrouvé son île et s’est emparée de la langue créole en même temps que du maloya, un blues ternaire hérité des esclaves malgaches et africains. Façonné sur scène, salué par le public et la critique, le premier album, Santié Papang (2014), est désigné « Coup de cœur » de l’Académie Charles Cros et lui fait faire un tour du globe : de l’Inde à l’Australie en passant par le Maroc, l’Afrique du Sud, le Canada, la Corée du Sud et la Chine.

 Aujourd’hui pourtant, Maya Kamaty choisit de délaisser l’acoustique de son premier opus et de faire évoluer en profondeur sa musique : « Cela aurait été trop facile de refaire Santié Papang, j’ai besoin de me mettre en danger, de prendre des risques ».

Ainsi est né Pandiyé. Un album suspendu, sa traduction en français, entre tradition et modernité. Car si l’enveloppe a changé, le besoin de raconter des histoires en chansons, lui, reste intact.

 Qu’on se le dise : Maya Kamaty est bien décidée à porter loin la richesse des sonorités de son île et à faire chanter, à sa façon, le verbe et l’âme créole actuels.

David Gabriel-Robez
David Gabrile-Robez  est né dans le froid Jurassien, en 1973. Il s’installe à La Réunion en 2001. Responsable de l’action culturelle pour le Sakifo Festival  et les Francofolies de La Réunion, il est, entre autre, professeur Relais du Théâtre Luc Donat au Tampon et manager d’un groupe de Rock Electro. David Gabriel Robez soutient et accompagne de nombreux projets artistiques et des actions culturelles. Il s’intéresse et accompagne des artistes d'univers musicaux très différents.