Après le succès du "Peuple des forêts", Grandeurs Nature continue avec la série documentaire "Le peuple des océans" d’offrir les plus belles images et les plus beaux voyages de Jacques Perrin au cœur du monde animal.
Avec la série "Le peuple des océans", élaborée à partir de 490 heures d’images inédites, Jacques Perrin et Jacques Cluzaud souhaitent satisfaire l’appétit de connaissance du grand public en s’attachant aux espèces. Les personnages de la série sont les espèces marines dans leurs milieux spécifiques.
La série Le Peuple des océans, découpée en 4 grands épisodes, entend faire comprendre les relations que chacune tisse avec les autres espèces et, également, le milieu physique : c’est-à-dire l’ensemble de l’écosystème dans lequel l’animal vit. Grâce à cette nouvelle approche
- Le peuple des sables et des forêts
Durée : 4 x 52’
Réalisation : Jacques Cluzaud et Jacques Perrin
Ecriture : François Sarano, Jacques Cluzaud, Stéphane Durand, Jacques Perrin
Musique originale : Bruno Coulais
Production : Galatée films (Jacques Perrin) et Mizar films (Nicolas Mauvernay)
C’est l’histoire de la baleine bleue et du grand requin blanc, des hordes de thons jaunes et des marlins. C’est l’histoire de tous les nomades et de tous les maraudeurs qui hantent le grand désert océanique en quête d’une trace, d’un indice, d’une odeur portée par les courants qui les conduirait vers un repas. C’est l’histoire, sans cesse recommencée, de leurs ripailles primitives et sauvages, et de leur interminable voyage à travers l’immensité liquide et bleue pour donner la vie.
C’est l’histoire des habitants des plaines sableuses qui se cachent là où il n’y a aucun relief derrière lequel se dissimuler. La plaine, apparemment déserte, grouille : là des yeux qui semblent n’avoir pas de corps surveillent alentour ; ici une éruption de sable révèle l’étrange manège de la crevette et de son associé, le gobie ; un alevin disparaît, brutalement englouti par la gueule monstrueuse du poisson pierre. Car les habitants du sable ont un secret qui les unit par-delà les frontières océaniques : ils savent s’enfouir entre les grains comme dans un fluide pour échapper au prédateur, ou pour surprendre la proie inattentive. Dans les grandes forêts sous-marines, les habitants n’ont pas ce souci. Bien protégés des grands prédateurs dans l’entrelacs des algues géantes, otaries et loutres de mer peuvent y jouer et virevolter à leur guise.