Affaire Bernard Pesquet, un crime peut en cacher un autre

Avec 1.3 million de téléspectateurs en moyenne depuis son arrivée sur France 2, Au bout de l’enquête est désormais la première émission de faits divers récurrente en France. 

Aux côtés de Marie Drucker, Alain Bauer, professeur de criminologie, apporte sur chaque affaire un éclairage technique, psychologique, sociologique ou  historique pour comprendre les procédés mis en œuvre au cours de l’enquête, mais aussi ses enjeux et ses répercussions.

Chaque fait divers raconte non seulement l’évolution des méthodes d’enquête des services de police et de gendarmerie, mais aussi une époque, un milieu, une région, un contexte historique ou social. A travers le récit des crimes et de leur résolution, Au bout de l’enquête écrira chaque samedi une page méconnue de l’histoire de la société française.

Un soin tout particulier est apporté à la qualité du récit et de la mise en images. Le magazine s’appuie en outre sur l’expertise et la rigueur d’une équipe rédactionnelle aguerrie, spécialiste de l’analyse et du décryptage des faits divers.

Une enquête d’Hélène Gauthier

Parfois un crime peut en cacher un autre, voire plusieurs autres. C’est un peu ce qu’ont vécu les fins limiers du 36 Quai des Orfèvres dans l’affaire Bernard Pesquet. Tout commence en juillet 1976, quand deux riches retraités et leur employée de maison, sont retrouvés morts dans leur appartement de Neuilly-sur-Seine. Rapidement, tous les indices mènent vers un peintre en bâtiment de 54 ans, marié, et a priori sans histoire. En se plongeant dans son passé les policiers vont pourtant découvrir qu’il a déjà tué, 35 ans plus tôt, en pleine Seconde Guerre mondiale. Le peintre serait-il un criminel en série ? Qui a croisé son chemin ? Et où est donc passée sa femme, disparue il y a quelques mois sans laisser de trace ? Tout au long d’une enquête hors norme, les meilleurs flics de la Crime vont tenter de faire la lumière sur cet assassin sans scrupules.