Découvrez une histoire du cinéma des Antilles sur une cinquantaine d'années....
Dans les années 50, c'est dans les salles de cinéma que les Français de l'Hexagone découvrent les Antilles, ces territoires si éloignés et si mal connus. Le plus souvent, les images vues et les commentaires entendus reflètent les clichés de la mentalité coloniale. Il faudra attendre le court-métrage La montagne est verte de Jean Lehérissey (prix Jean-Vigo en 1951) pour que, pour la première fois, la vérité sur ce pan de l'histoire nationale soit portée à l'écran.
Ce documentaire raconte l'émergence du cinéma antillais au cours de ces cinquante dernières années.
Cinéma militant, il s’est battu pour exister, mais il reste injustement peu connu, souvent dans l’ombre du cinéma français. Il compte pourtant de grands films. Notamment Rue Cases-Nègres d'Euzhan Palcy (Lion d'argent et césar de la meilleure première œuvre), Nèg Maron, Aliker, Sucre amer... puis, plus récemment, des comédies comme Antilles sur Seine ou La Première Étoile. Tous embrassent des problématiques majeures de notre temps comme l’héritage colonial, l’identité, le racisme et la représentation des acteurs noirs à l’écran.
D’une certaine manière, le cinéma antillais tient ses origines des mêmes questionnements et revendications qui ont traversé le cinéma afro-américain des années 1970, surnommé « la blaxploitation ».
Un film écrit et réalisé par Alexandre Hilaire
Durée 52 min
Production Talweg Production
avec la participation du Ministère des Outre-mer et de la région Guadeloupe, de France Télévisions et de TV5Monde
2019
Le mercredi 31 juillet 1968 est la date supposée de la plus célèbre "Rencontre du 3ème Type" jamais intervenue sur l’île de La Réunion.
Un jeune agriculteur créole du nom de Luce Fontaine déclara avoir observé, ce matin-là, dans une clairière, un engin volant extraordinaire et deux entités en scaphandre qu’il décrira comme des "Bonshommes Michelin".
Bien que sceptiques au départ, la presse et les gendarmes se trouveront vite confrontés à la découverte stupéfiante d’indices semblant venir consolider son récit… Cette affaire exceptionnelle, recensée dans la fameuse liste "Magonia", fait partie aujourd’hui des cas les plus marquants de l’Ufologie.