Avec 1.3 million de téléspectateurs en moyenne depuis son arrivée sur France 2, Au bout de l’enquête est désormais la première émission de faits divers récurrente en France. 

Aux côtés de Marie Drucker, Alain Bauer, professeur de criminologie, apporte sur chaque affaire un éclairage technique, psychologique, sociologique ou  historique pour comprendre les procédés mis en œuvre au cours de l’enquête, mais aussi ses enjeux et ses répercussions.

Chaque fait divers raconte non seulement l’évolution des méthodes d’enquête des services de police et de gendarmerie, mais aussi une époque, un milieu, une région, un contexte historique ou social. A travers le récit des crimes et de leur résolution, Au bout de l’enquête écrira chaque samedi une page méconnue de l’histoire de la société française.

Un soin tout particulier est apporté à la qualité du récit et de la mise en images. Le magazine s’appuie en outre sur l’expertise et la rigueur d’une équipe rédactionnelle aguerrie, spécialiste de l’analyse et du décryptage des faits divers.

Une enquête de Stéphanie Bergeron

C’est l’une des affaires les plus glaçantes de l’histoire criminelle français. Dans les années 80, 8 jeunes disparaissent les uns après les autres près du camp militaire de Mourmelon dans la Marne. Pendant des mois, malgré la souffrance et l'inquiétude des familles, l’armée les considère comme des déserteurs. L’enquête durera des années avant que ne soit finalement démasqué un prédateur particulièrement dangereux et inquiétant. Cette affaire, qui s’est étendue sur près de 25 ans, a marqué l’histoire criminelle française.