Avec 1.3 million de téléspectateurs en moyenne depuis son arrivée sur France 2, Au bout de l’enquête est désormais la première émission de faits divers récurrente en France. 

Aux côtés de Marie Drucker, Alain Bauer, professeur de criminologie, apporte sur chaque affaire un éclairage technique, psychologique, sociologique ou  historique pour comprendre les procédés mis en œuvre au cours de l’enquête, mais aussi ses enjeux et ses répercussions.

Chaque fait divers raconte non seulement l’évolution des méthodes d’enquête des services de police et de gendarmerie, mais aussi une époque, un milieu, une région, un contexte historique ou social. A travers le récit des crimes et de leur résolution, Au bout de l’enquête écrira chaque samedi une page méconnue de l’histoire de la société française.

Un soin tout particulier est apporté à la qualité du récit et de la mise en images. Le magazine s’appuie en outre sur l’expertise et la rigueur d’une équipe rédactionnelle aguerrie, spécialiste de l’analyse et du décryptage des faits divers.

Une enquête de Charlotte Durand 

C’est une affaire qui a marqué le Paris des années 80. D’abord à Montmartre et Pigalle puis dans toute la capitale, des vieilles dames sont assassinées chez elles pour quelques francs. Le mode opératoire est toujours le même. Les personnes âgées semblent avoir été suivies quand elles faisaient leurs courses. Puis elles sont torturées chez elles, volées avant d’être assassinées. Un portrait-robot est établi, mais pendant plusieurs années, le 36 quai des Orfèvres est tenu en échec. La psychose s’installe dans la capitale. Quand l’enquête finit par aboutir à la faveur d’un coup de chance, un improbable duo criminel qui naviguait dans le monde de la nuit est démasqué.