Avec 1.3 million de téléspectateurs en moyenne depuis son arrivée sur France 2, Au bout de l’enquête est désormais la première émission de faits divers récurrente en France. 

Aux côtés de Marie Drucker, Alain Bauer, professeur de criminologie, apporte sur chaque affaire un éclairage technique, psychologique, sociologique ou  historique pour comprendre les procédés mis en œuvre au cours de l’enquête, mais aussi ses enjeux et ses répercussions.

Chaque fait divers raconte non seulement l’évolution des méthodes d’enquête des services de police et de gendarmerie, mais aussi une époque, un milieu, une région, un contexte historique ou social. A travers le récit des crimes et de leur résolution, Au bout de l’enquête écrira chaque samedi une page méconnue de l’histoire de la société française.

Un soin tout particulier est apporté à la qualité du récit et de la mise en images. Le magazine s’appuie en outre sur l’expertise et la rigueur d’une équipe rédactionnelle aguerrie, spécialiste de l’analyse et du décryptage des faits divers.

Une enquête de Nathalie Mazier

C’est l’une des affaires criminelles récentes qui a le plus passionné les Français. Il faut dire que le dossier Troadec est une plongée fascinante mais aussi effrayante dans la jalousie obsessionnelle et la paranoïa. Au départ il y a une ville, Brest, qui cultive le mythe d’un trésor perdu : des lingots d’or égarés par la Banque de France au moment de la débâcle de 1940. A l’arrivée, les enquêteurs vont découvrir le massacre d’une famille entière. Et entre les deux, il y  a un homme  qui a progressivement sombré dans un délire paranoïaque. L’enquête commence en février 2017 dans la banlieue de Nantes quand les époux Troadec et leurs deux grands enfants ne donnent plus signe de vie…