Temps fort
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Il y a un an, l'usine Alstom de Belfort était condamnée, puis sauvée. Aujourd'hui, Alstom et son concurrent allemand Siemens se marient. Pour devenir le numéro 2 mondial du ferroviaire, selon l'Etat et la direction. Mais les emplois sont menacés selon les syndicats. On en débat dimanche 8 octobre 2017 à 11 h 25 sur France 3 Franche-Comté.
L'affaire fait grand bruit : Alstom, l'un des fleurons industriels français, le père du TGV, se marie donc avec son concurrent allemand, Siemens. Un mariage déséquilibré selon les uns, pour devenir le numéro 2 mondial du secteur selon la direction et l'Etat. L'Etat a sauvé le site de Belfort l'année dernière mais se retire du capital.
Les syndicats, eux, sont inquiets pour les emplois : selon eux, cette fusion engendrera forcément des doublons, synonymes de suppressions d'emplois à venir.
Alstom, c'est deux sites en Franche-Comté : Belfort, berceau du groupe, et Ornans.
On débat de cette union avec :
- Eric Alauzet, député "La République en Marche" du Doubs, et Ornans se situe dans sa circonscription
- Ian Boucard, député Les Républicains de Belfort
- Philippe Pillot, délégué central Force Ouvrière pour le groupe Alstom
Présentation : Catherine Eme-Ziri