programmation spéciale pour la semaine des droits de la femme

- « ELLES ont toutes une histoire » saison 3, une collection de Samuel Lebihan.  Diffusion sur toutes les antennes et plateformes du 5 au 15 mars. Cette collection donne la parole à celles qui seront les femmes de demain. Onze jeunes filles partagent leurs questionnements, leurs convictions, leurs envies… Comment imaginent-elles construire leur avenir ? En association notamment avec les fondations ELLE, Air France, Orange et RATP. Cette collection, réalisée cette année par Samuel Le Bihan, donne la parole à celles qui seront les femmes de demain.

- "Portraits de femmes de Mayotte ". Elles occupent un poste de responsabilité, dirigent une équipe parfois composé d’hommes, ou elles occupent également un poste qui pourrait être dirigé par un homme.Elles nous parlent d’elles de leur fonction, de leur difficulté, de leur réussite et de leur intégration dans le milieu où elles évoluent. Parmi ces femmes on retrouve Sitty Maoulida , Sylvie Ponce, Oniaynata, Anissa Aboudou, Yasmine Said et Fadjita. En programmation sur mayotte la 1ère à partir du 8 mars.

- "Fais danser la poussière". Téléflim à suivre le 7 mars à 15h30. A Paris, fin des années 60, Maya, une petite métisse, se sent différente des autres enfants. Sa mère est blanche et son père, qu'elle n'a jamais connu, est noir. Lorsque sa mère se marie, Maya doit apprendre à vivre son métissage dans une famille où tout le monde est blanc. Mal dans sa peau et régulièrement confrontée au racisme, l'enfant s'investit totalement dans sa passion: la danse. A force de travail, Maya parvient à se hisser au sommet de son art et devient danseuse professionnelle. Elle intègre alors un prestigieux ballet à New York. Cependant, arrivée à l'âge adulte, la jeune femme ressent le besoin de rechercher l'autre moitié de son histoire, celle de son père...

La soirée continue sur mayotte la 1ère le 7 mars 2018 : 

- "Bakhita". Téléfilm à suivre le 7 mars à 21:30. Bakhita est l'histoire d'une esclave devenue sainte. La vie d'une sainte africaine au début du siècle, le destin croisé de deux jeunes filles.Née au Soudan, Bakhita, encore enfant, est capturée par des marchands d'esclaves. Souvent frappée et violentée par ses maîtres, elle est ultimement revendue à un marchand vénitien, Federico Marin, qui l'emmène avec lui dans une petite ville italienne afin qu'elle prenne soin de sa fille Aurore, dont la mère est morte. Malgré les préjugés et les oppositions de toute sorte, Bakhita reste bonne et généreuse. Grâce au Père Antonio, curé de la paroisse, elle découvre la foi chrétienne et reçoit le baptême. Elle désire devenir religieuse, mais Federico Marin veut retourner vivre avec elle en Afrique.

- Nos Chaînes invisibles, le code noir à 23:10. Elles sont noires, féministes, artistes, chanteuses dans une chorale ou vendeuses au marché, toutes descendantes des victimes de la traite négrière. se sont-elles penchées un jour surl'histoire douloureuse de leur aïeule, ont-elles réfléchie à ce qu'était la vie d'une femme, esclave dans une plantation ? C'est une question qui va leur être posée dans ce film.La spécificité féminine dans la traite négrière est un sujet resté tabou car dénué de véritable recherche historique. Eclairé par l'analyse de quelques spécialistes (psychologue, politologue, sociologue, historien) ce film apporte un début d'éclairage sur ce silence lourd de sens.

- "Femmes au bagne, les oubliées de l'histoire" documentaire diffusé le 8 mars 2018 à 22h15. Le bagne, l'ultime sentence, la damnation par excellence, est souvent le pire des châtiments mais n'a pas toujours concerné que les hommes.Entre 1858 et 1905, la France a envoyé deux mille femmes dans ses colonies pénitentiaires de Guyane et de Nouvelle-Calédonie. Condamnées pour meurtres, infanticides, crimes politiques, mais aussi pour des délits mineurs et répétés comme les vols, la prostitution, le vagabondage...Le Second Empire, puis la Troisième République entendent se débarrasser de ces indésirables de peur d'une contagion sociale. Mais, le dessein est politique. Elles ont été les grandes oubliées de l'Histoire. Aujourd'hui, leurs descendants portent encore le poids de ce tabou historique et familial.

•    M'Parano de 20h00 à 22h00 :
Saandati a reçu ce  lundi 5 mars dans son émission Atua Attoumani, la chargée de développement et Naoilou Yahaya, président de UFOLEP (Union Française des Oeuvres Laïques et d'Education Physique). Toutes les deux étaient invitées pour présenter la journée sport prévue ce week-end à Iloni.

•    Matin 1ère de 8h00 à 9h00 : 
- Mardi 6 mars, Charifa reçoit  Anissa Abdou, Chargée de missions environnement - déchets -Animation à l'éducation au développement durable : enquête sur la gestion des déchets vert et de la sensibilisation à l’environnement. 

- Mercredi 7 mars, L’association pour la condition féminine et d’aide aux victimes (ACFAV) sera l'invitée de Matin 1ère. L'association qui est implantée sur le territoire mahorais depuis plusieurs années. De ses missions telles que l’implication de personnes désireuses d’impulser une autre dynamique dans un monde où règnent les inégalités sociales. 

- Jeudi 8 mars, Mme Fatima Souffou, la vice-présidente du conseil départemental, nous parlera des femmes mahoraises qui vivent à l’extérieur en collaboration avec Marie Josée Karake la responsable pôle social délégation de Mayotte à la Réunion le service social de la Réunion. Elle fera également son propre portrait en tant que femme active.

•    Récré action de 18h00 à 19h00 :
- A l'occasion du 8 mars,  journée internationale des droits de la femme, l'heure est au questionnement et au débat dans la récré avec Moina Poutou ! Elles s'appellent yasmine, fatima, flora et Samianty elles sont toutes différentes cependant des points commun les relient ; elles sont mère de famille dynamiques de la société mahoraise.

- le vendredi 9 mars, Moina Poutou invite les femmes de la 1ère dans son émission, l'occasion de se présenter, présenter leurs métiers......

•    Cocoïco week-end : 
Samedi 10 mars, Fred reçoit Atua Attoumani pour parler de la 2ème édition de Mtrumshe sport na ounono, la journée sportive à la plage d'Iloni organisée par UFOLEP.