DIMANCHE EN POLITIQUE

En France, cette maladie est toujours considérée comme rare. L’institut de veille sanitaire compte environ 25 000 à 30 000 cas chaque année, mais le nombre de malades serait bien plus important.

En Allemagne par exemple, on dénombre 1 à 2 millions de personnes touchées.

Pourquoi une telle différence ? À cause de l’insuffisance des tests actuels pratiqués en France. Alors les associations se mobilisent.

Alors que la ministre de la santé Marisol Touraine a rendu public le 29 septembre un plan national de lutte contre la maladie de Lyme et les autres maladies vectorielles transmises par la tique, nous ferons le point sur les avancées de ce dispositif et les manques.

Que prévoit le plan ? Et quand sera-t-il mis en place ? Quels sont les problèmes rencontrés par les malades ?

Pour tenter de répondre aux questions, Francine Dubail accueille : 

-  François Vannson, député Les Républicains des Vosges, auteur d’une proposition de résolution européenne qui a été adoptée en 2014

 - Chaynesse Khirouni, députée PS de Meurthe-et-Moselle a fait adopter par l’Assemblée à l’unanimité un amendement pour le développement d’actions de prévention et de formation des médecins   

- Marie Claude Perrin, présidente de l’association « Lyme sans Frontières »

- Sandrine Banas, maître de conférence en parasitologie au laboratoire de chimie physique et microbiologie pour l’environnement  (Université de Lorraine).

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