Découvrez la suite des aventures du commandant Renoir qui, après de nombreuses péripéties, a bel et bien réintégré son poste de chef de groupe à l'hôtel de police de Sète.
Nous la retrouvons avec son équipe dans un huis clos en deux parties réalisé par Raphaël Lenglet, suivi de deux épisodes de fin de saison riches en rebondissements.
Synopsis de la saison 9
Candice, qui a couvert les frasques d’Antoine, a reçu une double sanction : administrative — un blâme — et judiciaire — elle s’est vu retirer son habilitation d’OPJ par la procureure. Elle conserve son grade de commandant sans avoir le droit d’enquêter ni de rédiger d’actes. La voilà détrônée à la tête de son groupe par une enquêtrice hors pair, Pénélope Valier. Candice feint l’indifférence et cultive son jardin, mais combien de temps tiendra-t-elle ?
Sa mise au placard est aussi un cataclysme qui oblige Candice à repenser sa vie personnelle, à commencer par sa relation avec Antoine. Partant du constat qu’ils sont toxiques l’un pour l’autre, Candice décide d’instaurer une distanciation amicale entre eux. Oui, mais… peut-on vraiment être amis quand on s’aime d’un si grand amour ?
Pendant ce temps, la BSU de Sète se retrouve, au propre comme au figuré, au cœur d’une tempête…
Épisodes 7 et 8 : Qui va à la chasse perd sa place (parties 1 et 2)
Dimanche, petit matin. Le corps d’un président d’association de chasse, et lui-même chasseur émérite, est retrouvé, nu et en partie dévoré, dans l’enclos aux sangliers de son domaine. Si les bêtes avaient eu le temps de terminer leur « festin », le corps n’aurait certainement jamais été découvert. Un huis clos, dans un manoir possiblement hanté, où seront réunis et bloqués une partie de nos enquêteurs et leurs suspects. L’occasion pour Candice de se hisser à la hauteur d’un Hercule Poirot ou d’une Miss Marple.
Épisode 9 : Qui vit dans la haine ne connaît point le repos
Une jeune femme en sang débarque au commissariat, elle vient de se faire attaquer au couteau dans la rue. Jeune étudiante en médecine, elle est victime de cyberharcèlement suite à un post sur le port du masque qui n’a pas eu l’air de plaire. Chrystelle Da Sylva, devenue spécialiste de la cybercriminalité, vient prêter main-forte à l’équipe. Retrouver le terrain ne va pas sans quelques sérieux risques, tandis que Candice trouve la parade pour affronter un gourou antisémite qui instrumentalise ses adeptes et distribue des cibles à attaquer.
Épisode 10 : Mieux vaut faire envie que pitié
Sur la scène du cabaret Fa-Si-La-Si-Do, une artiste burlesque assez ronde livre une performance à la fois drôle et sexy qui lui vaut des applaudissements enthousiastes de Candice et Nathalie. Le lendemain matin, quand Candice apprend qu’un corps sans vie a été retrouvé au Fa-Si-La-Si-Do, elle est prise d’un mauvais pressentiment… qui se confirme lorsqu’elle arrive sur place : c’est Amélie qui gît sur le sol, une flaque de sang s’étalant derrière sa tête… En même temps, une bombe est découverte dans l’hôtel de police ! L’activité de la BSU est suspendue, tout le monde retient son souffle jusqu’à l’intervention des démineurs…
Réalisation
Raphaël Lenglet (ép. 7 à 10)
Une série créée par
Solen-Roy Pagenault
Robin Parataud
Brigitte Peskine
D’après un concept de
Robin Barataud
Jean Reynard
Brigitte Peskine
Direction de collection
Fabienne Facco
Avec
Cécile Bois
Candice Renoir
Raphaël Lenglet
Antoine Dumas
Ali Marhyar
Mehdi Badou
Yeelem Jappain
Valentine Atger
Olivier Cabassut
Armand Marquez
Marie Vincent
Nathalie Delpech
Clara Antoons
Emma Renoir
Christophe Ntakabanyura
Ismaël Ndongo
Maëlle Mietton
Pénélope Valier
Production
Boxeur 7
Producteurs
Caroline Lassa
Vincent Meslet
Producteur artistique associé
Ghislain Achard /
Couleurs Productions
Coproducteurs
BE Films – RTBF
Avec la participation de
France Télévisions
RTS et 13ème Rue
Avec le soutien de
la Région Occitanie
En partenariat avec le
CNC
Avec la participation de
France Télévisions
2022
Diffusion
2 épisodes tous les jeudis à 20h05
Rappel des épisodes précédents
Épisode 1 : Petite négligence accouche d’un grand mal
Réduite à effectuer des tâches administratives, Candice, sanctionnée pour avoir couvert Antoine, doit faire l’inventaire des scellés. Elle essaie de faire bonne figure devant les membres de l’équipe qui, tour à tour, viennent lui rendre visite. C’est alors qu’une jeune femme se présente à l’accueil : professeure d’acrobatie, cordiste intérimaire, elle se dit victime de harcèlement. Le temps que Candice plante son inventaire pour la rattraper, la jeune femme a disparu… Elle est retrouvée morte au pied du phare de Sète. Candice ne croit pas aux coïncidences, il s’agit très certainement d’un meurtre. Mais comment va-t-elle enquêter en ayant perdu son habilitation d’OPJ ?
Épisode 2 : Rien ne sert de courir
Tandis que Candice est toujours confinée dans le petit bureau au niveau de l’accueil, Antoine envoie Val sur les lieux d’un accident de la route dont le conducteur a été tué sur le coup… A priori un banal accident. Mais, en examinant l’intérieur de la voiture, Val remarque qu’une cache, vide, s’est ouverte sous l’effet du choc, typiquement du genre qui sert à dissimuler de la drogue. Pourtant, la victime a tout d’un inoffensif papy de 75 ans… Pénélope, la patronne du groupe stups qui assure l’intérim de Candice, débarque avec une équipe cynophile qui détecte bien des traces de drogue. Une double question se pose : s’agit-il vraiment d’un accident ? Et où est passée la drogue ?
Épisode 3 : Nécessité fait loi
Antoine est à l’école préparatoire des Beaux-Arts de Sète pour y déloger des étudiants protestataires. Quatre silhouettes cagoulées, littéralement pendues par le cou au toit du bâtiment, arborent une pancarte portant le motif de leur condamnation à mort par le système. Une scène choc qui fait déjà le buzz sur les réseaux sociaux, mais le coup d’éclat tourne au drame lorsque l’un des agents constate que l’une des silhouettes, professeur de photographie, est bel et bien mort « pendu haut et court ». Déni de grossesse, déni de précarité, déni d’amour, comment Candice, toute à la joie de pouvoir enquêter à nouveau, va-t-elle les affronter ?
Épisode 4 : Qui sème le vent récolte la tempête
Un appel est transféré à Candice par le standard. Au bout du fil, un homme qui se prétend en danger de mort et explique être en possession de documents incriminant la société pharmaceutique Occi-Vitale, responsable de rejets de benzène dans l’environnement, ce qui a causé plusieurs cas de leucémie chez des enfants. Persuadé d’être arrêté s’il se rend à la police, il refuse d’indiquer l’endroit où il se trouve… Il est en fuite, car il se sait pourchassé. Tout ce qui compte pour lui est que sa famille soit mise à l’abri. Et puis c’est le drame, Candice assiste, impuissante, à l’assassinat d’Aurélien en direct, au téléphone. Elle l’entend hurler avant que le silence ne retombe, définitivement. Il lui faudra toute sa malice et son acuité auditive pour décrypter l’arrière-plan sonore de l’appel et parvenir dans une communauté autosuffisante... Qu’il va falloir évacuer alors qu’une tempête est annoncée sur l’Hérault. En cours de tempête, le garage de Candice est inondé. Toutes ses affaires, emportées par les eaux, partent à l’aventure sur l’étang avant de sombrer dans les profondeurs. Ironiquement, la Nature s’est chargée de faire le ménage dans la vie de Candice. Cela sera-t-il suivi d’effet ?
Épisode 5 : Souvent l’un voit son bien où l’autre voit son mal
La ville de Sète essuie les conséquences de la tempête. La BSU est privée d’électricité. Bond en arrière pour la brigade ! Candice se marre. Le générateur étant capricieux, les moyens techniques sont limités. On sort les machines à écrire pour enregistrer les plaintes, la machine à café ne maintient plus le moral des troupes, les batteries des téléphones portables lâchent les unes après les autres. Mais pas le temps de se plaindre, l’équipe est appelée sur une scène de crime. Un psychiatre a été retrouvé assassiné dans une ruelle alors qu’il rejoignait sa voiture garée au bord du canal. L’enquête s’oriente autour des stages de « réorientation sexuelle », mais est-ce vraiment la résolution ?
Épisode 6 : La beauté ne se voit qu’avec les yeux de l’âme
Villa sur le Mont-Saint-Clair, chênes verts et pins méridionaux, vue sur mer. Dans la luxueuse piscine à débordement, un corps, celui d’une femme d'une quarantaine d'années flottant dans un nuage carmin sur fond d’azur. La dépouille est sortie de l'eau. Les enquêteurs découvrent son visage, tailladé, lacéré. La visite de la villa permet de confirmer l’identité de la défunte, chirurgienne esthétique et passionnée d’art antique. Dans la salle de bain plongée dans l'obscurité, Candice, Marquez, Ismaël et Mehdi tombent ahuris sur un homme endormi sur une chaise opératoire, le visage recouvert de bandages. Il a l'air d'une momie. À la faveur des travaux du copain de sa fille sur les momies de l’Antiquité égyptienne, la commandante a une fulgurance : les bandelettages des rites funèbres ancestraux avaient pour vocation de préserver les corps, de les conserver pour l’éternité ! Candice en est convaincue : en ôtant le bandage autour du visage de Juan, la vérité va apparaître. Chirurgie esthétique ou réparatrice ? La frontière est immense et mince à la fois.