Plage aux spectacles

A partir du 21 juillet : soirées spectacles chaque jeudi soir, pour un été festif !  

Programmation de ces soirées estivales :

• Jeudi 21 juillet à 00h40

Le malade imaginaire 

L'ultime pièce de Molière est une comédie-ballet, un genre plébiscité par 3 amis : le metteur en scène Vincent Tavernier (Les Malins Plaisirs), le chef d’orchestre Hervé Niquet (Le Concert Spirituel) et la chorégraphe Marie-Geneviève Massé (L’Eventail). Ils ont souhaité travailler ensemble sur ce projet pour célébrer le quatrième centenaire de la naissance de Molière, l'un de nos plus grands auteurs. Cette comédie musicale selon Hervé Niquet "comme à Broadway" rassemble tous les arts : la danse, le texte et la musique mais aussi les décors, les costumes, les lumières : un spectacle "total". France 3 invite le public à suivre cette grande comédie, une fantaisie carnavalesque, musicale et chorégraphique.

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• Jeudi 28 juillet à 00h45

Le Barbier de Séville

Crée en septembre au 2019 à l'Opéra de Rouen, avec une  mise en scène colorée de Pierre-Emmanuel Rousseau du Barbier de Séville avec une distribution prometteuse: Xabier Anduagua lauréat du concours Operalia 2019 et Léa Desandre jeune mezzo-soprano...

Suivi de : Folia (Danse)

• Jeudi 4 août à 00h35

Un rigoletto

En s’inspirant du Roi s’amuse, la pièce de Victor Hugo, Giuseppe Verdi a rendu son opéra Rigoletto bien plus célèbre que son modèle ! Il faut dire que l’orchestration scintillante et les airs éblouissants font toujours mouche, tandis que l’histoire est un concentré d’émotions. Comment ne pas se sentir en empathie avec Rigoletto, le bouffon du Duc de Mantoue, sur qui pèse une terrible malédiction ? Pour adapter l’opéra à un jeune public tout en restant fidèle à l’histoire originale, le metteur en scène Manuel Renga a opté pour une mise en abyme où une troupe donne une représentation de Rigoletto, révélant au passage la machinerie théâtrale et certaines techniques permettant de créer des illusions scéniques. Avec un dispositif participatif qui permet au jeune public de chanter les chœurs, cette version a de quoi susciter des vocations !

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Concert Opéra de Rouen Clemenza Da Tito

La Clémence de Titus. Des airs sublimes, des accompagnements élaborés et la maîtrise des ensembles en font le modèle parfait d'opéra. Inspirés par une photo de Melania Trump au sourire de papier glacé, le Lab/Clarac & Deloeuil ont axé leur projet autour de Vitellia, la femme de l'empereur Titus, pour percer ce qui se cache derrière l'image convenue des premières dames. Avec eux, Mozart nous rappelle que derrière tout homme de pouvoir, il faut toujours chercher la femme. 

• Jeudi 11 août à 00h20

Les Ogres de Barback 

Capté en octobre dernier, les ardéchois des Ogres de Barback vous feront danser toute la soirée. Le groupe « familial » déploie tout son talent de multi-instrumentistes au service de la fête et de l’engagement.

Là où les Ogres de Barback sont singuliers et immédiatement reconnaissables, c’est que leurs chansons ne se limitent bien évidemment pas à ce côté festif. Leurs paroles sont autant ciselées que les mélodies, et les textes évoquent aussi bien les travers de notre société, que les préoccupations personnelles. Ce voyage musical débute justement sur Pas ma haine, inspiré par le livre d’Antoine Leiris, journaliste qui a perdu son épouse lors de la fusillade du Bataclan.

Pendant plus de 2 heures, et toujours avec un humour bienveillant, les paroles brocardent en vrac : le chauvinisme régional, les interrogations métaphysiques de nos bambins, les « cons » et réacs de tout poil, les ennemis de la démocratie, les machos et misogynes… toutes celles et ceux à qui on a envie de dire « si vous pensez autrement, vous m’emmerdez ».

Réalisation : Matthieu Yakovleff 

Coproduction : France Grand Est / Couac Productions / Vosges TV / Asso Les Ogres

• Jeudi 18 août à 00h20

Songs de Correspondances

Le jour de son mariage, une jeune femme craque, s’enferme dans les toilettes, refuse la fête. C’est simple, Sylvia renie la vie et revisite sa mélancolie. Face à sa soeur dépressive, Viviane, désopilante, tente de divertir ses lamentations tandis que le fantôme de leur mère énigmatique chante. D’émouvants airs baroques du XVIIe siècle signés Henri Purcell, John Banister ou John Blow, qui exaltent les passions et atténuent les peines. Un répertoire sacré et profane qui a inspiré l’album primé Perpetual night (2018, Harmonia mundi) conçu par Sébastien Daucé pour l’ensemble Correspondances et la fascinante voix de Lucile Richardot, « mezzo auxgraves d’alto ». Samuel Achache crée une trame dramatique à ces chants, intègre les musiciens, acteurs et chanteurs comme personnages d’une histoire qu’il situe dans un fantastique décor de paraffine. En ce lieu allégorique de la mémoire, capharnaüm de souvenirs disparates, les murs de cire fondent, la mélancolie se défige et le rire fuse. À la fois concert, opéra de chambre et comédie burlesque, ce théâtre musical inclassable où le rire côtoie les larmes, sublime les amours désenchantées, enivre et divertit.

Suivi de : La reprise renversante

• Jeudi 25 août à 00h20

Le Trouvere

L'intrigue, au départ assez simple - deux hommes amoureux d'une même femme, devient rapidement très embrouillée. Les deux ennemis sont en réalité des frères qui s'ignorent, Manrico ayant été enlevé lorsqu'il était bébé par une gitane...

Direction musicale Pierre Bleuse
Mise en scène, scénographie, costumes Clarac-Deloeuil > Le Lab
Lumières et collaboration à la scénographie Christophe Pitoiset
Collaboration artistique Lodie Kardouss
Création vidéo Benjamin Juhel, Julien Roques & Timothé Buisson
Dramaturgie Luc Bourrousse

Orchestre de l’Opéra de Rouen Normandie
Chœur accentus / Opéra de Rouen Normandie

Réalisateur Jean-Pierre Loisil de la captation faite à l’Opéra de Rouen le 24 septembre 2021

Suivi de : La reprise renversante