VUES SUR LOIRE

Les invités :

• Charline Buisson, Ecomusée du Véron
  Après un BTS production animale à Fondettes (Tours) et un parcours dans plusieurs fermes, elle intègre l’Ecomusée en décembre 2011. Elle adore vraiment les animaux.
• Marie Joselon, Ecomusée du Véron
  Elle est médiatrice culturelle, elle habite à Savigny-en-Véron. Marie raconte ce marais transformé en bocage pour l’élevage, le lien du territoire avec l’eau et la légende du Véron et de ses « bédouins »
• Arnaud Réchard, Les Bateliers Ligériens
  Né à Chinon, Grand-mère de Savigny qui l’emmenait voir des constructions de bateaux. Il retape justement l’Alicante qu’il transforme en toue sablière. Depuis 1 an le chantier de l’association est installé à l’Ecomusée. Un partenariat qui permet de renouer avec la batellerie qui avait fini par disparaître du territoire. Précision, il est actif, ses collègues sont plutôt retraités. Il est informaticien pour la Communauté de Commune.
• Angèle de Latour, Ecomusée du Véron
  Responsable de l’Ecomusée, elle vient de l’histoire de l’art. Un atout pour l’organisation des expositions et des rendez-vous à vocation culturelle. Avec l’expo consacrée à Max Ernst, elle est absolument dans son domaine en faisant à la fois le lien entre une figure majeure de l’histoire de l’art du XXe siècle et le territoire du Véron.
• Gérard Vigneron, président de l’APEV (Association Pour Ecomusée du Véron)
  Originaire de la région parisienne, il s’installe à Savigny il y a 25 ans pour travailler comme mécanicien à la centrale. Retraité depuis 11 ans il s’engage dans l’APEV sur le volet taille de pierre. Il apprend auprès de l’ancien président qui était le seul tailleur de pierre professionnel. Avec d’autres membres, il construisent intégralement un four en tuffeau en 2013. Le four fonctionne régulièrement au cours d’ateliers pédagogiques avec des enfants. Il adore quand les enfants préparent de la pâte pour faire des fouées et s’émerveillent lors de la cuisson.

L'échappée :

• « Le voisin Max Ernst à Huismes » (Elise Charbey / Caroline Boghossian)
  Alors qu'il vient de recevoir le grand prix de la Biennale de Venise, Max Ernst s'installe à Huismes, dans le Véron. Il y vivra de 1955 à 1968. Visite des lieux avec l'actuel propriétaire de la maison qui en a fait un centre de documentation et d'exposition entièrement tourné vers cette grande figure du surréalisme.