Génération Bretagne

Pour y répondre, Robin Durand reçoit : 

• Maître Loïc Lecuyer, président du conseil régional des Notaires.

Il sera aussi question des emprunts : 50 % des crédits proposés par les banques ont  un vice de forme et peuvent être renégociés. Pour en parler : 

• Laurent de Badts, gestionnaire de la société "Les Expertiseurs du Crédit".

Les reportages  :

• L'habitat indigne : 78 000 logements classés indignes en Bretagne... 1/4 des logements classés F ou G au diagnostic énergétique… La qualité des logements est un enjeu aujourd'hui. Rencontre avec ces  ménages en vulnérabilité énergétique (habitat énergivore, coût du trajet domicile travail de plus en plus élevé...).

• Le logement social : Immersion dans un immeuble du parc HLM de Rennes.  Qui sont aujourd'hui les bénéficiaires du logement social ? Sont -ils heureux ? Ont-ils réussi à créer une nouvelle communauté ? 

• L'auto-construction : Devenir propriétaire : le rêve de beaucoup de Bretons mais un rêve encore souvent inaccessible. Alors aujourd'hui beaucoup se lance ce défi : construire soi-même sa propre maison. Celà concernerait 3 % des candidats à la propriété, une tendance qui répond à une nécéssité économique (30 % d'économies sur un projet immobilier) ou à des projets écologiques. Nous avons rencontrés des convertis.

Que sont-ils devenus ? :

• Les maisons Borloo. 
  En 2005, Jean-Louis Borloo lançait, à grand renfort de communication, le principe de la maison à 100 000 euros. L'idée était de booster l'accession à la propriété notamment pour les ménages les moins favorisés . Dix ans plus tard, seules 4 maisons sont sorties de terre. Elles ont toutes été construites à Ploërmel dans le Morbihan. Retour sur ce qui ressemble à un échec.

>> Cette émission sera suivie à 0h10 du documentaire d’Emmanuel Audrain Retour en Algérie.
Coproduction Le Goût du Large  - France Télévisions / France 3 Bretagne - 52’

Ils ont eu 20 ans entre 1954 et 1962. Comme deux millions de jeunes Français, leur service militaire ce fut la Guerre d’Algérie. La torture, les « corvées de bois »… sont les blessures dont leur génération n’a pu parler. 50 ans plus tard, à l’heure de toucher leur retraite du combattant, certains sortent de ce long silence. Ils se regroupent et refusent, pour eux-mêmes, cet argent de la guerre. Ils le collectent et le redistribuent à des associations algériennes. Puis, affrontant leur douleur et leur honte, ils parlent. Aux jeunes Français qu’ils vont rencontrer dans les établissements scolaires, ils disent « Parfois, il faut désobéir… Oser dire Non ! ». Cette histoire a bouleversé leurs vies. Mais aujourd’hui, ils veulent contribuer à en écrire une autre page… Solidaire et fraternelle.