Putain de Nanas
Francetv slash propose une websérie documentaire « Putain de Nanas » en 9 épisodes de 6 minutes. Putain de Nanas suit le parcours d’un club de rugby féminin de haut niveau, le LMRCV et s'invite dans la vie de ces filles pas comme les autres.
Putain de nanas, deux épisodes inédits par semaine
chaque lundi et jeudi sur france tv slash
LAURA, 26 ans, brutale, écorchée, brillante.
ALEX, 30 ans, ardente, intransigeante, fidèle.
MICHELLE, 24 ans, bagarreuse, fêtarde, solaire.
YANNA, 28 ans, cérébrale, courageuse, obsessionnelle.
Ces filles sont des « putains de nanas ». Elles nous entrainent dans un voyage intime et charnel, une plongée dans la routine de leur équipe de rugby et dans les combats de leur quotidien. Au-delà des résultats sportifs qui font du LMRCV l’une des meilleures équipes françaises, les « Putain de nanas » vivent une histoire de dingue, d’une rare intensité. Plus qu’une expression, ce surnom symbolise et incarne leur supplément d’âme.
Une série documentaire, 9x6 min – Réalisation Benjamin Montel et Antonin Boutinard Rouelle – Coproduction : Capa Sport et France Télévisions
BANDE DE FILLES
Dans ce collectif elles partagent tout : leurs doutes, leurs larmes, leurs espoirs, leurs rêves, leurs rires… Et tout le reste. Le reste c’est notamment ce sujet qui revient souvent : la « féminité » des rugbywomen.
Parce que non, ce n’est pas si évident. En pratiquant un sport comme le rugby, ces filles posent la question du conformisme du corps féminin. Comment elles le vivent à l’intérieur : la préparation, l’effort, la douleur… Et à l’extérieur : les préjugés, la différence et le regard des autres. Femmes, elles le sont aussi devenues « grâce au rugby ». Avec ce sport, elles ont trouvé un terrain de jeu où grandir, où s’exprimer, où se construire.
COMBATTANTES ET LIBRES
Ensemble, elles sont « les reines du monde ». Les reines d’un monde amateur où, en plus de l’investissement quotidien qu’exige le sport de haut niveau, elles doivent travailler ou étudier. Contrairement aux hommes qui gagnent des fortunes, elles ne perçoivent pas un centime de leur sport. Alors, elles sont directrice de communication, chef d’entreprise, professeur de sport, kiné, étudiante…Bref, des héroïnes du quotidien, mais surtout des femmes libres.