Affaire Doyonnas-Sarrazin, les assassins du minitel rose

Avec 1,2 million de téléspectateurs en moyenne depuis son arrivée sur France 2, Au bout de l’enquête est désormais la première émission de faits divers récurrente en France. 

Aux côtés de Marie Drucker, Alain Bauer, professeur de criminologie, apporte sur chaque affaire un éclairage technique, psychologique, sociologique ou historique pour comprendre les procédés mis en œuvre au cours de l’enquête, mais aussi ses enjeux et ses répercussions.

Chaque fait divers raconte non seulement l’évolution des méthodes d’enquête des services de police et de gendarmerie, mais aussi une époque, un milieu, une région, un contexte historique ou social. À travers le récit des crimes et de leur résolution, Au bout de l’enquête écrit chaque samedi une page méconnue de l’histoire de la société française.

Un soin tout particulier est apporté à la qualité du récit et de la mise en images. Le magazine s’appuie en outre sur l’expertise et la rigueur d’une équipe rédactionnelle aguerrie, spécialiste de l’analyse et du décryptage des faits divers.

Une enquête de Zinedine Boudaoud

Sébastien Faisant est un étudiant de 26 ans qui mène une vie tout ce qu’il y a de plus normale. Un matin d’octobre 1995, il est pourtant retrouvé mort dans un champ de la commune de Montagnat, en Rhône-Alpes. Seul indice des enquêteurs : quelques jours avant sa mort, il était entré en contact avec un couple libertin grâce au Minitel rose.

Au fur et à mesure de cette enquête aux multiples rebondissements, les gendarmes vont mettre à jour un duo diabolique, et s’apercevoir que la mort de Sébastien n’était en fait qu’un élément d’une vaste entreprise macabre.