Nouvelle étoile montante de la scène française, Lujipeka fait partie de ceux qui font souffler un vent nouveau sur le rap francophone. Sur la scène du Zénith, il emmène son public au cœur de son imaginaire dans une ambiance urbaine presque futuriste.
Rien ne semble arrêter le jeune rappeur émancipé du collectif rennais Columbine. Après avoir sorti son premier album, écumé les festivals et rempli les salles partout en France, Lujipeka se produit pour la première fois en concert au Zénith de Paris devant un public de plus de 7 000 personnes : un spectacle mémorable envisagé comme un point d’orgue pour ce jeune artiste connaissant les prémices du succès, au début d’une carrière plus que prometteuse.
Lujipeka aborde le rap de façon décomplexée avec une liberté de ton et d’écriture abolissant les frontières entre les genres musicaux. Ses morceaux reflètent l’esprit d’une jeunesse touche-à-tout, lucide sur son époque, balancée entre des sentiments contradictoires et poussée par la nécessité́ de tout réinventer.
1h28 • Réalisation Stéphane Bohée • Production Morgane Production et Universal Music France / Panthéon Films
À suivre après le concert : JUMP ! Lujipeka à 22.15
Dans ce documentaire, nous suivons pendant deux ans les premiers pas de Lujipeka. De son dernier concert avec Columbine jusqu’à son premier show en solo. Entre ces deux moments, nous sommes dans l’intimité de l’artiste : doutes, écriture, ambition, solitude, création... mais surtout, nous affrontons avec lui un obstacle imprévisible et redoutable : la pandémie de covid-19 qui va bouleverser tous ses plans.
Ce portrait documentaire retranscrit une longue phase de création et d’introspection. Ici, tout tient sur un fil. Les réalisateurs ont filmé Lujipeka avec une grande liberté et une grande mobilité, à hauteur de « jeune rappeur ». Nous sommes tantôt dans l’action, en séance de travail, en répétition avant un show, ou en tournage de clip, tantôt dans un moment plus calme, intimiste, apaisé, flottant, avec des périodes d’écriture, d’ennui vague ou de doute.
42 min • Réalisation Benjamin Montel et Antonin Boutinard Rouelle • Production CAPA
France Télévisions
Unité culture et spectacle vivant
Michel Field
Sonia Djallali
Solène Saint-Gilles