L’annonce d’un deuxième confinement le 28 octobre par le président de la République a stoppé net un élan de reprise d’activités économiques. Le monde du sport n’a pas été pas épargné.

La pratique du sport collectif en cette période de deuxième confinement est quasiment impossible. Cela entraîne une baisse d’activité des stades, des entraîneurs. Les athlètes ne sont pas au mieux de leur performance.Adultes comme enfants ont été ainsi privés de loisirs pendant presque deux mois.

Pour les clubs et autres Fédérations la crise sanitaire pourrait entraîner des faillites. Beaucoup de match ont été annulés et les quelques rencontres qui se sont déroulés étaient  à huit clos. Dans les deux cas, le résultat est le même : pas de recette.

Le constat est le même pour le mode de la culture. Salles de théâtre, cinémas et salles de concerts resteront fermés au moins jusqu'au 20 janvier. Les acteurs du secteru attendaient une ouverture de leurs sites après le 15 décembre pour bénéficier d'un regain économique de fin d'année. Il n'en sera rien. La culture animée et vivante est à l'arrêt depuis pratiquement six mois.

En cette fin d’année, quel bilan pour ces deux secteurs peut-on dresser ? Et surtout, quelles perspectives ont-ils ?
Comment repartir, finir la saison pour tous ces clubs  sportifs amateurs ou pro ? Comment faire vivre la culture dans les mois à venir ?
Faut-il revoir le modèle économique de certains sports ?

• Christophe Fauvel, président du club de foot de Bergerac
   
• Marie-Laure Lafarge, directrice de Basket Landes vice-présidente de la ligue féminine de Basket
   
• Vincent Fabre, président du Marathon du Médoc
   
• Damien Godet, directeur de la scène nationale Sud Aquitain Bayonne, Anglet, boucau et Saint-Jean- de- Luz
   
• David Sauvignon, directeur de la Salle Diffa'Art Parthenay