La pédophilie est un fléau. 3,5 millions de Français ont été victimes de violences sexuelles dans leur enfance. Violées par leur père, leur frère, un ami de la famille, un entraineur de foot, un prêtre ou un instituteur… huit victimes racontent avec pudeur ce qu’elles ont subi durant leur enfance et leur long parcours de reconstruction. Leur parole est un cri d'alarme face à une société qui refuse d'affronter la violence qui menace ses enfants.
Résumé
La pédophilie est un fléau. 3,5 millions de Français ont été victimes de violences sexuelles dans leur enfance. Huit victimes nous racontent avec pudeur les violences sexuelles qu’elles ont subies.
Au-delà des faits, les témoins décrivent les conséquences désastreuses que ces viols ont eues sur leur vie, mais aussi le long parcours de reconstruction qui les a amenés à la résilience.
Les violences sexuelles ont, au moment des faits, un effet de sidération qui paralyse les victimes. Elles sont généralement incapables de parler et de raconter ce qu’elles ont subi.
Manipulés pour satisfaire les plaisirs des adultes, les enfants sont la plupart du temps sous emprise et se taisent par peur, par culpabilité, parce qu’ils craignent de ne pas être crus. Parfois les victimes mettent en place des défenses psychologiques et oublient les évènements traumatiques qu’elles ont vécus des dizaines d’années auparavant.
Un enfant abusé souffre d’un sentiment de culpabilité, de manque de confiance, de dévalorisation de soi. Les conséquences sur sa vie entière sont parfois terribles. Souffrance psychique, trouble du comportement alimentaire, addiction à l’alcool et aux drogues, dépressions, tentatives de suicide… les violences sexuelles détruisent l’être à petit feu.
Pour arriver à mieux vivre et commencer un travail de reconstruction, il faut parler. Mettre des mots, comprendre ce qui s’est passé, ce qu’on a enfoui et pourquoi. Après la parole, on a parfois recours à la justice…quand il n’est pas trop tard et que le délai de prescription n’est pas dépassé.
Ce qui apparaît inacceptable pour les victimes qui ont le courage de nous parler, c’est de découvrir l’énorme complaisance et le laxisme des institutions face à ces violences. Chaque affaire portée sur la place publique révèle, sans exception, la liste de tous ceux qui savaient et qui ont laissé faire. Le soutien de l’Eglise aux actes pédophiles des prêtres. Les non-dits sur le comportement de certains professeurs de l’éducation nationale ou certains encadrants sportifs. L’entourage, les parents, la famille, les amis qui savent sans parfois se l’avouer et restent inactifs. Les policiers qui assistent impuissants aux crimes de récidivistes qu’aucune victime n’ose dénoncer.
Il y a une omerta incompréhensible qui entoure la pédophilie en France. Un déni coupable.
Plus que le simple récit d’une violence insupportable, ce film est aussi un message d’espoir. Pour certaines victimes la résilience est possible. Il est possible de retrouver la sérénité alors même qu’on a subi de telles violences. On ne peut pas effacer le passé, mais on peut se reconstruire. A condition de regarder la réalité en face et de briser le silence qui tue.
Personnages
Andréa Bescond
42 ans – comédienne, danseuse – Région parisienne
Violée de 8 à 12 ans par un ami de la famille
Quand elle a 8 ans, Andréa est approchée par un ami de la famille qu’elle aime bien. Il l’entraine dans la salle de bain, la convainc que c’est un jeu, qu’il ne faut rien dire, un secret entre eux... elle se laisse faire, ne dit rien. Il la viole. Et recommence régulièrement, pendant 4 ans.
A 22 ans, quand elle apprend que son agresseur va devenir grand-père d’une petite fille, elle se décide à porter plainte. Elle n’est pas prête psychologiquement, elle est dans le rejet de ses souvenirs, mais elle ne peut pas garder le silence et risquer que cette petite fille subisse ce prédateur.
Ingrid Hild
Infirmière
Violée par son père de 10 à 16 ans.
Au plus loin qu’Ingrid se souvienne, elle avait 10 ans. Elle se réveille la nuit, elle est allongée sur le ventre, son père est sur elle, il la masse, descend sur ses parties intimes. Elle se sent complètement impuissante, impossible de lui dire “va-t-en!”.
Elle reconstruit difficilement ses souvenirs. Une chambre, un lieu de vacances, une maison qu’ils habitent, lui permettent de reconstituer des dates, des âges auxquels cela a eu lieu.
Kévin Massé
30 ans, Ouvrier – Tarbes
Violé par son entraîneur de foot de 6 à 17 ans
Kevin avait 6 ans quand cela a commencé. La famille de Kevin avait emménagé dans un village du Sud-Ouest. Son père venait d’y ouvrir une boulangerie. Gérard, cadre d’une usine de métallurgie, est devenu un ami de la famille. Il a monté un club de foot avec l’aide du père de Kevin qui en est devenu le sponsor… Kevin s’est mis au foot, et Gérard a promis à la famille qu’il allait prendre soin du jeune garçon. C’est devenu son entraîneur, et son agresseur.
A 18 ans, Kevin dépose plainte. Le procès a lieu à la cour d’assise 6 ans plus tard. Pendant 6 ans, 9 plaintes ont été déposées. Gérard est condamné à 10 ans fermes et 5 ans de suivi après sa sortie. Il est placé en détention immédiatement à la fin du jugement. Il ne fait pas appel. Il a plaidé coupable.
Laurent Boyet
45 ans, policier – Perpignan
Violé par son frère de 16 ans, de l’âge de 6 à 9 ans
Laurent est originaire d’un milieu modeste, des environs de Roanne. Sa mère garde des enfants et s’occupe de la famille, son père est ouvrier.
Laurent a trois soeurs et un grand frère qu’il adore, son modèle, son héros. Son frère a 10 ans de plus que lui. Il vit en internat, il étudie dans une école d’ingénieur militaire, mais revient dans la famille le week end et pour les vacances. Quand il revient, il partage la chambre, et même le lit de Laurent.
Cela a commencé brutalement”. Laurent avait 6 ans. Il est violé par son frère une première fois, au réveil, un matin d’été…
Mathilde Brasilier
58 ans, Ecrivaine, journaliste Paris
Violée par son père jusqu’à l’âge de 10 ans
Mathilde nait en 1959 dans une famille d’artistes.
Son père, Jean-Marie Brasilier, a obtenu le prix de Rome en architecture en 1957, la famille s’est alors installée pour cinq ans à la Villa Médicis, côtoyant d’éminents artistes.
Mathilde fait de brillantes études, fonde une famille et, globalement, garde des souvenirs heureux de son enfance, voire idylliques.
Pourtant elle souffre de spasmophilie, de claustrophobie, elle est profondément insomniaque depuis l’âge de 7 ans, elle ne peut s’endormir sans cachets, elle a régulièrement des malaises mais elle ne sait pas pourquoi.
A 24 ans, son frère Fabien qu’elle aime tant se suicide.
C’est au cours de la thérapie qu’elle entreprend qu’elle retrouve la mémoire de ce que son père leur a fait vivre au quotidien, à elle et à son frère.
Sébastien Lopez
35 ans, ouvrier – Villefontaine
Sa fille a été victime des ateliers du goût du directeur d’école de Villefontaine à l’âge de 6 ans.
Inès était en CP au moment des faits. De septembre à mars, jusqu’à ce qu’il soit découvert, son instituteur, directeur d’une école de Villefontaine, organisait des ateliers du goût pour des élèves qu’il choisissait parmi des volontaires, moyen pour eux, elles surtout, d’obtenir des récompenses sous forme de bons points. C’est sur son sexe qu’il faisait goûter les élèves, filmant parfois la scène.
L’instituteur s’est suicidé en prison avant la tenue de son procès.
A la suite de cette affaire, une loi est votée à l’assemblée pour que les informations de la justice, en cas d’enquête et condamnation pour des actes pédophiles, soient transmise à l’Education nationale.
David Guillemois
48 ans, professeur d’EPS – Guingamp
Fellations régulières par sa tante et marraine vers 7/8 ans
David est le 5ème d’une fratrie de filles, c’était enfin le garçon, le « doudou » de sa mère. Dans son imaginaire de petit garçon, la féminité, c’est la douceur. Il est très calin. Mais vers 6, 7 ou 8 ans, il ne sait pas dater exactement, il se souvient que sa marraine, la soeur de sa mère, “s’amuse” à prendre son sexe d’enfant dans sa bouche. Il se souvient de plusieurs scènes, certaines dans la salle de bain, après le bain, une autre dans le jardin, l’été, en présence de son frère.
Il grandit avec ses souvenirs, n’en parle à personne. Sa mémoire est assez précise, mais longtemps il n’a pas su si c’était vrai, ou s’il avait rêvé. C’est lorsqu’il est allé consulter une thérapeute, pour lui et pour ses filles, qu’il a commencé à réaliser ce qu’il avait vraiment subi.
Corinne Bouchoux
52 ans, sénatrice - Angers
Agressée par un prêtre à l’âge de 7 ans
Corinne Bouchoux a grandi en banlieue parisienne, dans un milieu relativement modeste, ouvert, croyant et pratiquant Elle suit les cours de catéchisme. Le prêtre l’aime beaucoup, il se lie d’amitié avec ses parents. Il s’occupe lui-même de nombreuses activités dans la paroisse, en plus du catéchisme. Mais un jour, il coince Corinne dans la sacristie, et se livre à des attouchements, qu’on pourrait aujourd’hui qualifier de viol. Elle a 7 ans. Corinne est bouleversée. En rentrant chez elle, elle en parle à sa mère, qui l’a croit.
Elle a voulu porter le débat au Sénat, mais la résistance est très forte. D’après elle, on ne peut, encore aujourd’hui, aborder la question de front.
Intentions
« En France, statistiquement, deux enfants par classe sont victimes de pédophilie ».
La violence de ce chiffre a déclenché en moi une colère qui ne pouvait se calmer que par l’action. A la seconde même où j’ai entendu la comédienne Andréa Bescond prononcer cette phrase, alors qu’elle recevait le Molière du Meilleur seul en scène, j’ai su qu’il fallait que je réalise un film sur ce fléau.
Comment se fait-il que je n’étais pas au courant ? J’ai la cinquantaine, j’ai élevé quatre enfants, j’ai réalisé des films sur l’école et sur tout un tas de sujets qui touchent l’enfance… et je ne savais pas. J’ai entendu comme tout le monde les scandales répétés au sein de l’Église en France ou ailleurs, quelques affaires à l’école et dans des clubs de sport. Mais cela me semblait être des cas isolés. Loin de nous. Deux enfants par classe.
J’ai eu peur pour les miens, peur pour ma famille, mes amis. Il y a-t-il quelque chose d’autre que je n’ai pas vu ? Cela touche-t-il mes proches sans que je ne le sache ? Et mes enfants ? Que leur est-il arrivé ? La boule au ventre, je suis allé leur poser la question. La réponse m’a rassuré.
Après une rapide recherche, les chiffres se révèlent encore plus catastrophiques. La dernière enquête de l’Institut National d’Enquête Démographique en 2015, révèle que 8% des femmes et 2,7% des hommes ont subi une agression sexuelle avant 18 ans. A l’échelle d’un pays comme la France, le calcul est simple : 3,5 millions de Français ont été victimes de violences sexuelles dans l’enfance. A peu près la population de Paris, Lyon et Marseille réunies.
Qui est au courant de l’ampleur du phénomène ? Pendant des jours, j’ai interrogé tous ceux que je croisais. Et à chaque fois la même stupeur devant les chiffres. Personne ne semble connaître ces chiffres. Quels que soient les milieux.
Comment expliquer cette ignorance terrible ? Comment comprendre le silence des victimes, de la justice, des responsables politiques ? Quand un danger quelconque menace la population - un virus, un évènement climatique, un risque domestique, routier, l’alcool, le tabac, le sucre… - on est bombardé de campagnes d’information. Et là, 3,5 millions de victimes et c’est le silence.
Où sont les campagnes de prévention contre la pédophilie ? Qui organise l’information dans les écoles, dans les centres sportifs, dans les communautés religieuses ? Qui apprend aux parents à reconnaitre les signes caractéristiques d’un enfant en proie à la violence ?
Personne. Seules quelques associations de victimes luttent courageusement pour panser les plaies. Mais quand il est trop tard. L’Etat reste silencieux et inactif. Ce silence incompréhensible est coupable et meurtrier. Il est à l’image du déni de la société face à ce problème. Un refus généralisé de regarder la réalité en face. Pourquoi ?
Un chiffre nous aide à comprendre. 80% des individus qui dénoncent un viol commis dans leur enfance par un membre de leur famille sont rejetés par cette même famille. Il est plus facile d’éliminer la victime que de punir le coupable et de risquer l’explosion de la famille. Déni cynique. La société dans son ensemble se comporte elle aussi comme une famille. Il est plus facile de nier ou d’étouffer les faits. Si nous pouvions connaitre et punir les innombrables coupables, il est probable que la société serait au bord de l’explosion. Surtout en considérant que cette violence touche tous les milieux sociaux.
Nous comprenons alors que très peu de ces victimes parviennent à prendre la parole pour raconter ce qu’elles ont vécu. Encore moins à engager des poursuites judiciaires contre leurs bourreaux. C’est pourtant le seul moyen de faire reculer la violence.
En donnant la parole à 8 victimes issues de tous les milieux, ce film encourage toutes les victimes à briser le silence. Cette parole est indispensable pour entamer une démarche de reconstruction, pour arriver à soigner ces traumatismes, pour permettre à la justice de s’exercer et prévenir d’autres viols. Et cette parole est indispensable pour faire prendre conscience à une société aveugle l’ampleur des dégâts de la violence sexuelle que subissent les enfants.
Les médias se sont emparés récemment des débats autour du délai de prescription et de l’âge de consentement des mineurs. Cela concerne les moyens donnés à la justice pour poursuivre les coupables. Mais il faut prendre le problème en amont au lieu de se concentrer sur les conséquences. S’attaquer aux causes, seul moyen de protéger véritablement nos enfants. Il est urgent d’agir. 3,5 millions de victimes, cela mérite au moins une grande campagne nationale de prévention à l’attention de tous.
Biographie du réalisateur:
ERIC GUERET Réalisateur - Documentariste
2018 « ENFANCE ABUSEE » – 70', France 2 - Infrarouge
Deux enfants par classe sont victimes de pédophilie. Huit victimes racontent leurs viols et le long parcours de leur reconstruction. Comment mieux prévenir ce fléau ?
2017 « SECURITE NUCLEAIRE, LE GRAND MENSONGE » – 104', ARTE
Tout ce qui entoure la sécurité nucléaire est classé secret-défense. Sommes-nous bien protégés contre un attentat terroriste nucléaire ?
2016 « 13 NOVEMBRE, VIVRE AVEC » – 70', France 2 - Infrarouge
5 rescapés des attentats qui ont ensanglanté Paris le 13 novembre 2016 racontent comment ils réapprennent à vivre.
2016 « TRANS, C’EST MON GENRE » – 70', France 2 - Infrarouge
Les personnes trans subissent d'énormes discriminations. La plus importante est institutionnelle. Changer d’indenté de genre en France est un parcours du combattant.
2015 « LA SANTE EN FRANCE, ENQUETE SUR LES INEGALITES » – 90', France 3
La France a certainement l’un des meilleurs systèmes de santé au monde. Et pourtant. Déserts médicaux, inégalités sociales et environnementales… sommes-nous tous égaux face à la maladie ?
2014 « HOMOS, LA HAINE » – 70', France 2
Famille, travail, voisinage, violence de rue, des hommes et des femmes de tous âges témoignent de l'homophobie qu'ils subissent.
2013 « LES INSOUMISES » – 110', CANAL+
De l'Inde à la France en passant par le Mali, la Thaïlande et la Turquie, nous avons accompagné des femmes qui résistent, parfois au péril de leur vie, pour défendre leurs droits. Elles sont les Insoumises.
2012 « LA MORT EST DANS LE PRE » – 52’, France 2
Dans toutes les campagnes de France, des agriculteurs malades, victimes de l’utilisation des pesticides, commencent à prendre la parole. Ils révèlent ce que les industriels voulaient cacher à tout prix.
2011 « MANGER PEUT-IL NUIRE A LA SANTE ? » – 90’, France 3
Cette investigation explore les filières de production des aliments que nous consommons le plus : Le porc, le saumon, les fruits et légumes, le pain. Que cache la fabrication de notre alimentation ?
2010 « TOUS ENSEMBLE » – 73’, France 2
Quel est le vrai pouvoir des syndicats? Goodyear, Molex et Total, trois conflits sociaux exemplaires racontent le combat des syndicalistes de la CGT.
2009 « DECHETS : LE CAUCHEMAR DU NUCLEAIRE » - 100’, ARTE
Les déchets radioactifs sont le talon d’Achille du nucléaire. Aux Etats-Unis, en Russie et en Europe, ce film propose un tour du monde des poubelles atomiques.
2007 « FEMMES SANS DOMICILE » – 52’, France 5
Pendant 6 mois, toutes les nuits dans les rues de Paris, je suis allé à la rencontre des femmes sans-abris, pour comprendre comment elles survivent dans ce monde sauvage.
2006 « COLUCHE, LA FRANCE A BESOIN DE TOI » – 52’, France 3
20 ans après sa disparition brutale, Coluche nous manque toujours. La voix de Josiane Balasko nous entraîne, au fil des sketches et des archives inédites, à la découverte d’un Coluche dérangeant.
2006 « LES MITTERRAND (S) » – 57’, ARTE
François Mitterrand reste un personnage mystérieux. Nous tentons à travers ce portrait psychologique d’éclairer un peu la complexité de sa personnalité. Combien de Mitterrands se cachent derrière ce visage?
2005 « GREENPEACE, OPERATION PLUTONIUM »
Feuilleton documentaire - 5x26 et 52’, ARTE
Un an passé au coeur de la campagne nucléaire de Greenpeace France. Un bateau chargé de plutonium américain doit arriver en France. Action de terrain, stratégie de communication, bataille juridique…
2004 « COLUCHE AUTOPORTRAIT » - 66’, TF1
A base d’archives inédites, ce film retrace la vie trop courte de Coluche.
2003 « JULIEN EN CLERC » - 130’ , France 3
Julien est un des artistes français les plus mystérieux. Il accepte ici de se raconter avec émotion et pudeur.
2003 « LANGUES MATERNELLES » - 90’, France 5
Dans la cour de cette école maternelle de Paris se croisent des enfants originaires de plus de 30 pays. Pendant leur première année d’école, j’ai partagé les joies et les difficultés de l’apprentissage de la vie sociale.
2002 « RENAUD , LE ROUGE ET LE NOIR » – 125’, France 3
Renaud est un artiste atypique. Sensibilité à fleur de peau, coups de gueule, tendresse ... A travers sa vie, nous revivons notre histoire de mai 68 à aujourd’hui.
2001 « FRANCE GALL PAR FRANCE GALL » - 120’ , France 3
120 minutes d’archives et de confessions de la Star sur son destin hors du commun.
1999 « PAROLES D'ENFANTS » - 60' TSR (Suisse) et RTS (Sénégal)
1994 : Je filme dix « enfants des rues » à Dakar au Sénégal.
1999 : Je retourne au Sénégal pour les retrouver. Dans la rue, dans les centres d’accueil, en prison ou de retour chez eux, que sont-ils devenus ?
1997 « ALL YOU NEED IS LOVE » - 90', M6
Le « phénomène Diana » a fait vaciller l’Angleterre. A base d’archives et de témoignages, guidé par Stéphane Bern, ce film nous fait revivre et comprendre ses relations complexes avec la monarchie.
1992 « LES ENFANTS DU PARTI » - 52', Planète
La Chine populaire commence à s’ouvrir au monde, mais dans cette usine de construction automobile de Canton, le parti communiste organise et contrôle toujours l’existence des employés.
#INFRAROUGE
Présentation
Marie Drucker
Un film réalisé par
Eric Guéret
Une production
Morgane
Gérard Pont
Gérard Lacroix
Sylvain Plantard
Avec la participation de
France Télévisions
Avec le soutien de
la Région Île de France
la Procirep- Angoa
le soutien du Centre National du Cinéma et de l’image animée
Pôle documentaires société et géopolitique de
France Télévisions
Renaud Allilaire
Julie de Mareuil
Sophie Chegaray
Directeur de l'unité documentaires
Catherine Alvaresse
Antonio Grigolini
#BrisonsLeSilence
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france.tv