Le Grand BaZH.art

C’est ici que ce groupe est né il y a presque trente ans. Les bars de Brest ont vu les tous débuts d’un groupe, duo de potes à l’origine, devenu une entreprise qui a vendu 1,3 millions d’albums, récolté trois disques d‘or et un double disque de platine. Ils sont devenus une figure incontournable du monde de la musique en Bretagne, dans le reste de la France, tout comme à l’étranger. Parce que les fondations du groupe se sont aussi formées dans les tournées en Chine, en Russie ou en Inde où leurs tubes celtiques ont fait exploser les saris et les turbans Sikhs.

A Brest avec Stan, chanteur, Eric, bassiste et Scholl, batteur, rejoints ces dernières années par Julien aux claviers et Léo aux guitares, le Grand BaZH.art pose ses caméras dans l’intimité de ces gars de la ville où finit la terre.

Matmatah nous embarque dans leur Brest à eux, tout d’abord dans des extérieurs grandioses à l’image de leur super exposition de groupe de rock arrivant à pleine maturité…

Ce sera la découverte d’un Brest moins touristique, plus underground. Ils nous feront rencontrer leur luthier Antoine Cueff installé sur la charmante place Guérin ainsi que Mathias Guillois, peintre et photographe, dont l’art est inspiré par la ville, celle de Brest. Il y aura une rencontre émouvante avec le pianiste breton Didier Squiban pour parler de musique et d’identité.

Séquence improbable ensuite où le groupe va jouer sur l'incontournable monument de Brest, la célèbre Abeille Bourbon, le remorqueur superstar. 

Enfin, nous finirons ce Grand BaZH.art accueillis par Caroline Raffin, directrice de la pépinière de projets artistiques qu’est Le Fourneau pour une ultime séquence où Matmatah interprétera leur titre phare : Brest même.

Bref, encore du beau, du bon, du Grand BaZH.art !

La soirée continue avec : TOSCA à 00.50

Avec cette production de Tosca, la metteuse en scène italienne Silvia Paoli signe un spectacle d'une froide beauté et d'une magnifique épure. 
Avec pour toile de fond la traque des républicains dans la Rome des années 1800, Puccini offre à ce drame une musique sensuelle et charnelle, certes, mais aiguisée comme un poignard.                
                                                  
Ce spectacle, présenté à l'occasion du centenaire de la mort de Puccini a obtenu le label Olympiade Culturelle Paris 2024.            
Opéra chanté en italien et surtitré en français.                      
Captation réalisée à l'Opéra de Rennes dans le cadre de l'édition Opéra sur écran(s) en juin 2024. 

Réalisation : Jean-Pierre Loisil            
Coproduction : Cinétévé - Opéra de Rennes - Angers Nantes Opéra - Radio France - France Télévisions - France 3 Bretagne -  Avec la participation de Angers Télé - Le Mans télévision - Télénantes - TV Tours-Val de Loire - TVR - Tébéo - TébéSud - TV Vendée et l'Orchestre National des Pays de la Loire.
Durée : 130 min.