
Communiqué de presse
- Partagez 'Black out - le fléau silencieux de la soumission chimique' sur Facebook
- Partagez 'Black out - le fléau silencieux de la soumission chimique' sur X
- Partagez 'Black out - le fléau silencieux de la soumission chimique' sur LinkedIn
- Partagez 'Black out - le fléau silencieux de la soumission chimique' par email
Le documentaire s’ouvre sur une phrase qui frappe l’esprit : « Quand on veut soumettre quelqu’un chimiquement, il suffit d’ouvrir l’armoire à pharmacie ». Dès les premières secondes, le spectateur est transporté dans un univers inquiétant, où certaines drogues, comme le GBH, sont utilisées comme de véritables armes par des agresseurs. Sans odeur ni couleur, elles disparaissent vite du corps, laissant la victime dans un état de confusion, d’euphorie passagère, puis d’inconscience… avec souvent aucun souvenir de ce qui s’est passé.
À travers ce cri d’alerte, le réalisateur veut éveiller les consciences. Les témoignages de victimes, mais aussi les paroles de soignants, de représentants des autorités et des forces de l’ordre dressent un portrait sans concession d’une réalité qui touche aussi nos îles. Des soirées festives qui se transforment en cauchemars, des réveils douloureux, des familles bouleversées.
Le film montre également le combat difficile des victimes devant la justice. Comment prouver une agression quand les traces disparaissent en quelques heures ? Comment être entendu quand certains doutent ou minimisent ce qu’elles ont vécu ? Ces obstacles rendent la quête de justice encore plus lourde.
Mais le documentaire ne s’arrête pas au constat. Il propose aussi des pistes de protection et de prévention. On y découvre par exemple des dispositifs simples, comme des protections à placer sur les verres, qui peuvent éviter qu’une drogue y soit versée. Les interventions d’experts et de responsables politiques, dont Isabelle Champmoreau, vice-présidente du gouvernement, rappellent que des efforts existent, mais que le chemin est encore long.
Avec des reconstitutions réalistes, des jeux visuels entre ombre et lumière, une musique de nuit rythmée, et surtout des témoignages bouleversants, Jérôme Roumagne plonge le spectateur dans l’ambiance des soirées festives.
Réalisation : Jérôme Roumagne • Production : AVCom / Myadia productions / NC la 1ère • Durée : 52 minutes
PATITIFA
une émission proposée par Polynésie La 1ère
directeur régional :
Jean-Philippe LEMÉE
directeur éditorial :
Alex BELLEROSE
responsable des antennes TV :
Tepiu BAMBRIDGE
administrateur de production :
Jules COLOMBEL