Communiqué de presse du 28/10/2025
La ligne bleue
Nolan, devenir éleveur en Bretagne
Lundi 17 novembre à 23.10 sur France 3 et sur france.tv
Documentaires et magazines
Alors que la France voit disparaître chaque année des milliers d’exploitations agricoles, Nolan, 19 ans, choisit d’emprunter le chemin inverse. À Plounérin, dans les Côtes-d’Armor, ce jeune Breton métis débute sa première année comme éleveur laitier. En reprenant la ferme de sa grand-mère “Mio”, femme forte et pionnière, il cherche à tracer sa propre voie : comment vivre du lait sans sacrifier sa vie à ce métier si exigeant ? À travers le regard de Nolan, c'est une jeunesse rurale souvent invisible qui s’exprime, entre héritage, doutes et désir de renouveau.
Biographie des réalisateurs
Aude Rouaux
Aude Rouaux fait ses débuts au sein de l’agence de presse CAPA qu’elle intègre en 2009, en tant que journaliste reporter d’images (JRI). Elle réalise pour la chaîne Arte des sujets environnementaux à travers le monde. Elle poursuit son travail sur l’environnement et les enjeux de santé publique pour les cases documentaires de France Télévisions. En 2015, elle s’intéresse aux aliments irradiés dans nos assiettes (52’, France 5). L’année suivante, elle enquête sur la « vallée des cancers » à Birac, un village viticole charentais qui enregistre chez ses habitants des cas de lymphomes supérieurs à la normale (70’, France 5). En 2020, son documentaire Bretagne, terre sacrifiée interroge la politique agricole intensive de la région et ses conséquences néfastes sur l'écosystème : algues vertes, maladies professionnelles, rejets toxiques, épidémies mortelles chez les animaux… (70’, France 5). En parallèle, Aude Rouaux produit une longue filmographie sur la Shoah. Elle s’intéresse particulièrement à la résilience des survivants dans Les Arpenteurs (45’, France 2) diffusé en 2015. L’année suivante, elle retrouve la trace d’un tableau de maître spolié par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale dans Une ombre aux tableaux (45’, France 2). Elle signe une série en 2023 sur la longue traque du SS Klaus Barbie (180’, France 2), ainsi que le portrait de Joseph Weismann (90’, France 2), enfant juif échappé du camp de concentration de Beaune-la-Rolande. En dehors de ses deux principaux domaines de prédilection, elle explore d’autres thématiques telles que la fin de vie dans son documentaire Le dernier exil (70’, France 5) ou encore la quête de réparation des victimes de l’amiante dans Un espoir de justice (70’, France 5), toujours avec une approche sensible et intimiste. Elle obtient notamment en 2023 le prix Pierre-Schoendoerffer récompensant sa série documentaire Devenir , qui dessine le portrait d’une jeunesse, d’une vocation mais aussi d’une profession au sein de la formation des sapeurs-pompiers de Paris (110’, France 5). Passionnée par l’univers des photographies d’Elliott Erwitt, mêlant humanisme et humour, elle s’inspire de la maxime de l’artiste : « Il y a partout des photos à faire. Il faut juste s’intéresser à ce qu’il y a autour de soi et se soucier de l’humanité, de la comédie humaine. » Aude Rouaux est titulaire d’un master en science politique et diplômée de l’école supérieure de journalisme de Lille. Elle a 40 ans et vit entre Berlin et Paris.
Aude Rouaux fait ses débuts au sein de l’agence de presse CAPA qu’elle intègre en 2009, en tant que journaliste reporter d’images (JRI). Elle réalise pour la chaîne Arte des sujets environnementaux à travers le monde. Elle poursuit son travail sur l’environnement et les enjeux de santé publique pour les cases documentaires de France Télévisions. En 2015, elle s’intéresse aux aliments irradiés dans nos assiettes (52’, France 5). L’année suivante, elle enquête sur la « vallée des cancers » à Birac, un village viticole charentais qui enregistre chez ses habitants des cas de lymphomes supérieurs à la normale (70’, France 5). En 2020, son documentaire Bretagne, terre sacrifiée interroge la politique agricole intensive de la région et ses conséquences néfastes sur l'écosystème : algues vertes, maladies professionnelles, rejets toxiques, épidémies mortelles chez les animaux… (70’, France 5). En parallèle, Aude Rouaux produit une longue filmographie sur la Shoah. Elle s’intéresse particulièrement à la résilience des survivants dans Les Arpenteurs (45’, France 2) diffusé en 2015. L’année suivante, elle retrouve la trace d’un tableau de maître spolié par les nazis pendant la Seconde Guerre mondiale dans Une ombre aux tableaux (45’, France 2). Elle signe une série en 2023 sur la longue traque du SS Klaus Barbie (180’, France 2), ainsi que le portrait de Joseph Weismann (90’, France 2), enfant juif échappé du camp de concentration de Beaune-la-Rolande. En dehors de ses deux principaux domaines de prédilection, elle explore d’autres thématiques telles que la fin de vie dans son documentaire Le dernier exil (70’, France 5) ou encore la quête de réparation des victimes de l’amiante dans Un espoir de justice (70’, France 5), toujours avec une approche sensible et intimiste. Elle obtient notamment en 2023 le prix Pierre-Schoendoerffer récompensant sa série documentaire Devenir , qui dessine le portrait d’une jeunesse, d’une vocation mais aussi d’une profession au sein de la formation des sapeurs-pompiers de Paris (110’, France 5). Passionnée par l’univers des photographies d’Elliott Erwitt, mêlant humanisme et humour, elle s’inspire de la maxime de l’artiste : « Il y a partout des photos à faire. Il faut juste s’intéresser à ce qu’il y a autour de soi et se soucier de l’humanité, de la comédie humaine. » Aude Rouaux est titulaire d’un master en science politique et diplômée de l’école supérieure de journalisme de Lille. Elle a 40 ans et vit entre Berlin et Paris.
Tom Cariou
À 20 ans, pendant ses études, Tom Cariou découvre la force et la diversité du documentaire, capable de raconter des histoires par l’intime, du champ d’à côté (Anaïs s’en va-t-en guerre, de Marion Gervais, France 3) au sommet du pouvoir (Édouard, mon pote de droite, de Laurent Cibien, France 5). Il décide alors de fabriquer lui-même des documentaires. Il expérimente d’abord le documentaire sonore chez France Culture (LSD) avant de se tourner vers l’audiovisuel. En 2019, il intègre Premières Lignes où il participe à plusieurs enquêtes. Il rejoint ensuite Grand Angle Productions, où il fait ses armes en tant que journaliste (La Face cachée des énergies vertes, Arte ; Kerviel : un trader, 50 milliards, HBO Max), auteur (Devenir pompier, France 5...), puis réalisateur (Mon boulot chez McDo, France TV Slash). Indépendant depuis ses 26 ans, il réalise plusieurs enquêtes pour France Télévisions (Sous haute pression, le système Ryanair ; Red Bull, un empire dans ma canette…), mais entend aussi, à l’autre bout du spectre documentaire, raconter le monde dans des films avec une écriture plus intime et proche du cinéma du réel (Nolan : devenir agriculteur en Bretagne, la génération d’après, France 3). Tom Cariou a 29 ans. Il est diplômé du master de reportage et d’enquête de Sciences Po Rennes. Il vit entre Paris et la Bretagne. Très proche de la culture et de la musique bretonne, il arpente chaque année la région, des sentiers de Groix aux fest-noz du Trégor.
À 20 ans, pendant ses études, Tom Cariou découvre la force et la diversité du documentaire, capable de raconter des histoires par l’intime, du champ d’à côté (Anaïs s’en va-t-en guerre, de Marion Gervais, France 3) au sommet du pouvoir (Édouard, mon pote de droite, de Laurent Cibien, France 5). Il décide alors de fabriquer lui-même des documentaires. Il expérimente d’abord le documentaire sonore chez France Culture (LSD) avant de se tourner vers l’audiovisuel. En 2019, il intègre Premières Lignes où il participe à plusieurs enquêtes. Il rejoint ensuite Grand Angle Productions, où il fait ses armes en tant que journaliste (La Face cachée des énergies vertes, Arte ; Kerviel : un trader, 50 milliards, HBO Max), auteur (Devenir pompier, France 5...), puis réalisateur (Mon boulot chez McDo, France TV Slash). Indépendant depuis ses 26 ans, il réalise plusieurs enquêtes pour France Télévisions (Sous haute pression, le système Ryanair ; Red Bull, un empire dans ma canette…), mais entend aussi, à l’autre bout du spectre documentaire, raconter le monde dans des films avec une écriture plus intime et proche du cinéma du réel (Nolan : devenir agriculteur en Bretagne, la génération d’après, France 3). Tom Cariou a 29 ans. Il est diplômé du master de reportage et d’enquête de Sciences Po Rennes. Il vit entre Paris et la Bretagne. Très proche de la culture et de la musique bretonne, il arpente chaque année la région, des sentiers de Groix aux fest-noz du Trégor.
Les documentaires de « La ligne bleue » racontent celles et ceux qui, au cœur de nos territoires, s’engagent, se battent, partagent des combats et des rêves. Engagés ou simples acteurs d’autres possibles, leurs combats sont personnels ou collectifs.

54 min
Un film réalisé par
Aude Rouaux
Tom Cariou
Image
Benjamine Jeunehomme
Henri Desaunay
Montage
Gaël Pouvreau
Mixage
Louis Dugast
Etalonnage
Alexandre Lelaure
Production
Antipode / Jean-Luc Millan
Unité des documentaires
Antonio Grigolini
Xavier Gubert
Disponible sur![]()
Contact - France Télévisions
Laurence de Faria
Contact - France Télévisions
Fredy Rubio