Les copros cinéma de la semaine
Les filiales France 2 Cinéma et France 3 Cinéma soutiennent la production cinématographique française à travers des films de qualité. Chaque année, plusieurs longs-métrages coproduits par ces entités font leur entrée sur grand écran, offrant aux spectateurs une variété d'histoires et d'émotions.
Retrouvez les prochains films en salle le 14 janvier coproduits ou pré-acheté par les filiales cinéma de France Télévisions.
L'affaire Bojarski
Réalisé par Jean-Paul Salomé, L'affaire Bojarski sort en salle le mercredi 14 janvier. Reda Kateb, Bastien Bouillon, Sarah Giraudeau...sont à l'affiche de ce drame coproduit par France 2 Cinéma.

Brillant ingénieur, Bojarski ne parvient pas à faire breveter ses inventions dans la France d'après-guerre en raison de ses origines polonaises… Soucieux d'offrir à sa femme et ses enfants un cadre de vie confortable, il se resoud à contrefaire des billets de banque, d'abord pour le compte d'un gang mafieux, puis, parvenant à s'en débarrasser, pour son propre compte. Il est bientôt surnommé le " Cézanne des faussaire " pour l'excellence de ses contrefaçons et donne bien du fil à retordre à la police…
Furcy, né libre
Réalisé par Abd Al Malik, Furcy, né libre sort en salles le mercredi 14 janvier. Ce drame, coproduit par France 3 Cinéma, est l’adaptation de l’essai L’Affaire de l’esclave Furcy de Mohammed Aïssaoui, paru en 2010, et réunit à l’écran Makita Samba, Romain Duris, Ana Girardot et Vincent Macaigne.

Une histoire vraie qui débute en 1817 à l’île Bourbon (La Réunion). À la mort de sa mère, l’esclave Furcy découvre dans ses effets personnels une lettre d’affranchissement qui ferait donc de lui, indirectement, un homme libre. Avec l’aide d’un procureur abolitionniste, Gilbert Boucher, il se lance dans un combat judiciaire contre son maître Joseph Lory afin de prouver sa liberté. Cette affaire aux multiples rebondissements durera près de trente ans. Il sera emprisonné puis envoyé en exil à l’île Maurice pendant de longues années. Il viendra finalement plaider sa cause à la Cour Royale de Paris en 1846. Sa victoire fera de lui un des rares esclaves de l’Histoire de France libéré par la voie légale, quelques années avant l’abolition définitive de l’esclavage.