VOUS POUVEZ RÉPÉTER LA QUESTION ?

« France 4 continue à affirmer son positionnement de chaîne familiale en lançant des programmes divertissants et éducatifs capables de rassembler les parents et les enfants.

Portés par cette ambition, nous avons travaillé avec la production sur ce nouveau jeu, Vous pouvez répéter la question ?. Pour l’incarner, je suis heureuse d’accueillir, pour la première fois sur France 4, Alex Goude, un animateur moderne, bienveillant et chaleureux, proche des valeurs de la chaîne.

Il aura à ses côtés l’expertise d’un journaliste passionné par les sciences et des humoristes de talent découverts dans On ne demande qu’à en rire.

Au programme, sketches et happenings pour aider les familles à répondre à des questions qui laissent plus d’un parent perplexe.

Une émission dont on sort grandi ! »

« À l’origine de ce programme, il y a une double envie. 

L’envie de faire un programme original, éducatif et ludique qui permette de réunir toute la famille. Ce jeu de connaissances va soulager tous les parents, parfois bien seuls au moment de répondre aux questions existentielles que se posent régulièrement leurs enfants.

C'est également l’envie de retrouver la plupart des talents issus d’On ne demande qu’à en rire et, une fois encore, d’en révéler de nouveaux.

J’ai la volonté de rassembler, à travers ce programme, toutes les générations, et notamment les communautés de fans de nos humoristes.

Enfin, je suis heureuse de travailler avec France 4 et Alex Goude, qui, par son talent et sa modernité, incarne parfaitement ce programme. »

Deux familles s’affronteront par émission avec à chaque fois 6 questions posées.

Les questions peuvent être posées en plateau, par micro-trottoir ou dans des lieux insolites.

Pour chaque question, 3 choix de réponse possibles.

Pour aider les familles, deux équipes d’humoristes joueront une réponse sous forme de sketch sur le plateau. Dans l’un se trouve peut-être la bonne réponse.

À l’issue des deux skteches, chaque famille se concerte avant de choisir entre 3 possibilités :
– voter pour la réponse du sketch 1,
– voter pour la réponse du sketch 2,
– ne voter pour aucune des deux propositions et considérer que Jérôme Bonaldi a la bonne réponse, qui sera alors apportée par une démonstration.

Une question fil rouge incarnée par Jérôme Bonaldi maintiendra le suspense jusqu’à la fin.

La famille ayant cumulé le plus de points remporte le jeu et un week-end au Futuroscope.

Les questions posées sont celles que tout le monde se pose, parents comme enfants. Des questions qui semblent simples et pourtant… parmi elles : Pourquoi le volant des voitures est-il à gauche ? Pourquoi porte-t-on des montres au poignet ? Pourquoi la neige est-elle blanche ? Pourquoi les marins portent-ils des marinières ?...

Alex Goude s’est tout d’abord fait remarquer sur Disney Channel en 2002, avant d’enchaîner avec des passages sur M6, Canal+, Jet TV et France 2 sous la direction, déjà, de... Catherine Barma (il était... l’humoriste d’On n’a pas tout dit, présenté par Laurent Ruquier) ! En parallèle, à la télé, il a également entamé une grosse carrière théâtrale, lancée au théâtre Comédia à Paris en 2005 avec sa première pièce de théâtre en tant qu’auteur, metteur en scène et interprète : Théâtrouille. Depuis, il a mis en scène, écrit ou joué dans de nombreux spectacles, aussi bien à Paris qu’à Las Vegas, et il s’est notamment occupé de beaucoup d’humoristes. Il a également connu une carrière télé très riche, en particulier sur M6, où il est devenu, pendant huit ans, le Monsieur Météo le plus surprenant du paf et aussi animateur de nombreux jeux et divertissements, dont Incroyable Talent. Abandonnant la télé pour se consacrer à la mise en scène de Timéo l’an dernier et de ses deux shows à Las Vegas, Alex Goude est de retour dans ce programme mêlant tout ce qu’il aime : humour, jeu, divertissement intelligent et... Catherine Barma. 

Jérôme Bonaldi, dont le goût pour les innovations, les sciences et les technologies a largement fait sa réputation et orienté sa carrière, est présent cette année à la télévision sur Science & Vie TV (Mondadori – AB Groupe).

Il présente depuis six ans Le Mag de la science, un magazine scientifique hebdomadaire.

Il présente des émissions spéciales en relation avec l’actualité scientifique et technologique, notamment une émission quotidienne en direct pendant la COP 21 et… d’autres à venir.

Il assure également des chroniques ponctuelles et propose des conférences sur le thème de l’innovation, des objets connectés, du développement durable, des économies d’énergie.

Jérôme Bonaldi est l’auteur de plusieurs livres : Dis Jérôme, c’était comment avant ? (Gründ, novembre 2016), La Vie (presque) sans pétrole (Plon, 2007, actualisé chez Marabout en mars 2009), Dis, Jérôme… (Albin Michel, 1994), Les Choses de la vie quotidienne (Le Pré aux Clercs, 1990)…

Il est président de l’Association nationale des épiceries solidaires (ANDES) depuis 2006.

Né le 11 mars 1975 à Bordeaux, il grandit dans les Yvelines. Après son bac, il entre à la fac de droit. Un match d’improvisation est organisé dans un des amphithéâtres : ce spectacle qui va changer sa vie. Dès le lendemain, il s’inscrit dans les ateliers d’impro. En 1998, il obtient sa maîtrise de droit des affaires, qui l’amène en toute logique à un métier de... commercial dans l’exportation. Sa passion de la scène le rattrape. Il est soutenu dans cette démarche par Alain « Papy » Degois, qui l’intègre dans sa compagnie, Déclic Théâtre, qui a vu naître Jamel Debbouze. Il lui fait rencontrer la Compagnie de La Pastière, avec laquelle il joue en 2003, 2004 et 2005 dans une adaptation de Cyrano de Bergerac. Il écrit son premier one-man-show, Réflexions profondes sur pas mal de trucs, en 2002, avec son fidèle ami-auteur Arnaud Joyet. En 2004, il gagne le prix du public au festival du rire de Puy-Saint-Vincent et rencontre Fred Testot, qui le fait entrer à Canal+, où il présente la météo dans Le Grand Journal en 2005.

Au festival de Dinard, une rencontre avec son idole, François Rollin, donnera naissance à son deuxième spectacle, Chose promise, coécrite avec Arnaud Joyet.

Il intègre la Ligue d’impro professionnelle (LIFI), avec laquelle il se produit à l’Élysée Montmartre. Repéré par Pierre Palmade, il joue dans son émission Made in Palmade, sur France 3, et dans sa pièce Le Comique, nommée aux Molières en 2009.

En 2008, il joue dans le spectacle de Raphaël Mezrahi Monique est demandée caisse 12. En parallèle, il obtient le rôle de Captain Sport Extrême dans la série Hero Corp, d’Alexandre Astier, sur France 4.

Il fait ses débuts au cinéma en 2010 dans le premier long-métrage écrit par Fred Testot et réalisé par Charles Nemes, Au bistro du coin, puis il participe à l’émission On n’demande qu’à en rire, de Laurent Ruquier. 

En 2013, il parcourt les zéniths de France aux côtés de Jérémy Ferrari et Baptiste Lecaplain pour La Tournée du trio. Il est également à l’affiche du film Fonzy, d’Isabelle Doval, avec José Garcia.

En  2015, il joue son troisième spectacle, Confidences sur pas mal de trucs plus ou moins confidentiels, coécrit par Rollin et Joyet, au Splendid.

Depuis septembre 2016, il anime la matinale sur RTL2 de 6 à 9 heures.

Tout a commencé sur la scène du Théâtre Trévise, au Festival d’expression artistique libre et désordonnée (FIEALD), à l’aube du deuxième millénaire. Il écrit, joue, apprend, rencontre pas mal de gens… Mais ne gagne rien. En 2005, alors que sa carte bancaire ne fonctionne plus, il commence à travailler sur Comédie, rembourse son découvert et fait même la première partie du spectacle de Daniel Prévost à l’Olympia. Cette prestation lui permettra d’obtenir une place dans Les Agités du bocal, sur France 4, puis au Fou du roi, aux côtés de Stéphane Bern, sur France Inter. Avec Harry Tordjman et Henri Debeurme, ils créent Ben se fait des films, programme court de 20 épisodes diffusé sur France 4. Il interprète ensuite le rôle de Vince dans la série Les Invincibles (8 x 52’) sur Arte, pendant deux saisons.

Il mène ensuite sa carrière tambour battant, jonglant entre la scène, la radio, la télé et le cinéma. On l’entend maintenant dans la matinale de France Inter, et pas mal de gens viennent voir son spectacle tous les soirs au Théâtre du Temple. Toujours avec Harry Tordjman, il crée Deux mecs qui bossent à Canal, programme court de 10 épisodes diffusé sur Canal+. L’année suivante, on le voit dans le film de Xavier Giannoli Superstar, aux côtés de Cécile de France et de Kad Merad. Et aussi de plein d’autres acteurs hypertalentueux. Cet épisode cinématographique lui vaudra même une prénomination dans la catégorie « révélations » des César en 2013. Une forme de gloire assez modeste, à son image. En ce moment, il rode son nouveau spectacle Éco-Responsable, fait des sketches dans Vivement Dimanche aux côtés de Michel Drucker, développe différents projets avec différentes personnes.

Suite à un début de carrière houleux dans son métier initial d’enseignante de SVT, Nicole Ferroni finit par quitter l’Éducation nationale, avant que ce ne soit elle qui la quitte.

En 2009, elle apprend par une lettre laissée dans son casier le 2 avril (laissée le 1^er, on aurait pu trouver que la blague était douteuse…) la suppression de son poste.

Parce qu’elle fait du théâtre en amateur depuis plus de dix ans, se pose alors la question de la reconversion : Nicole demande ainsi un mi-temps, qu’elle obtient, et écrit durant l’année 2010 un seul-en-scène qu’elle couve secrètement… « L’œuf, la poule ou Nicole ? ».

Novembre 2010, alors qu’elle est toujours enseignante à mi-temps, elle présente son spectacle pour la première fois et dépose en cachette sa candidature à l’émission télé On n’demande qu’à en rire (émission quotidienne de Laurent Ruquier sur France 2).

C’est ainsi qu’elle intègre l’émission en février 2011 pour ne la quitter qu’à sa fin… en juin 2013.

Ces deux années lui offrant une jolie vitrine télévisuelle en tant qu’auteure et comédienne, d’autres portes s’ouvrent à elle.

À la radio, Nicole Ferroni occupe les ondes par des chroniques hebdomadaires sur France Inter : d’abord dans l’émission On va tous y passer avec Frédéric Lopez, puis dans l’émission Si tu écoutes, j’annule tout au côté de Charline Vanhoenacker, et enfin dans la matinale du 7-9 au côté de Patrick Cohen (où elle sévit chaque mercredi).

Au cinéma, elle apparaît dans les films N’importe qui, Divorce à la française et Toute première fois.

En télé, après avoir incarné le rôle d’Octavia dans la série Péplum sur M6, elle s’incarne elle dans l’émission Folie Passagère sur France 2, au côté de Frédéric Lopez, avant de désincarner les mères indignes du court format Post-Natal diffusé dans l’émission La Maison des Maternelles (France 5). 

Antonia passe sa vie entre son Alsace natale, le Sud-Ouest où elle a grandi et le reste de la francophonie où elle commence à avoir des attaches très solides aussi. Fille de l’improvisation qu’elle a découverte en marge de ses études supérieures de lettres, puis de sociologie, Antonia est passée à l’écriture au tournant du millénaire avec un premier spectacle seule en scène : Itinéraire d’une enfant ratée, titre prémonitoire puisque quelques années plus tard, en mars 2012, elle recevait des mains de Claude Lelouch le prix Henri-Salvador du festival de Saint-Gervais pour son second spectacle, Travail, Famille, Poterie. C’est à cette occasion qu’elle s’est liée d’amitié avec Olivier Sitruk, alors membre du jury, qui lui a proposé de lui prêter main-forte pour remettre en scène le spectacle.

Dans la foulée, Antonia a participé à l’émission On n’demande qu’à en rire, sur France 2, où elle a marqué la troisième et ultime saison avec plusieurs sketches d’« anthologie », dont un sur Frigide Barjot.

Elle continue ses aventures télévisuelles en participant ponctuellement à divers programmes : Vivement dimanche, Montreux Comedy Festival, Signé Taloche, Les Grands du rire, Les Années bonheur ou encore Carte blanche à Anne Roumanoff. En 2015, elle fait son entrée dans l’équipe d’Arthur dans le programme de divertissement Vendredi tout est permis, où ses talents d’improvisatrice ne laissent pas indifférent. Elle va d’ailleurs les mettre à profit au printemps 2015 pour créer via l’improvisation les ébauches d’un nouveau spectacle, Moi Jeu, qui fait sa rentrée parisienne en septembre 2016 aux Feux de la Rampe.

Antonia, c’est une écriture, un jeu, mais aussi une voix, voix qu’elle prête depuis quatre ans à la présentatrice Dörthe Eickelberg, chaque soir, dans l’émission Xenius, sur Arte. La chaîne franco-allemande lui confie régulièrement des doublages de rôles dans des téléfilms, et elle a interprété Marianne dans une série docu-fiction diffusée en novembre 2013, pour laquelle elle repart en tournage en septembre 2016. On la retrouve également auprès du trompettiste Ibrahim Maalouf dans une web-série destinée à lancer l’album Illusions. En 2015, on l’a retrouvée dans quelques capsules humoristiques diffusées dans les émissions Parodies d’Arthur et de Cyril Hanouna, ainsi que comme chroniqueuse sur Rire et Chansons. En 2016, elle fait son entrée au festival Le Marrakech du Rire sous le regard bienveillant de Djamel Debbouze.

Majid n’est pas méconnu du grand public, il a écumé les cafés-théâtres parisiens, de la Providence au Splendid, aussi bien en one-man-show qu’en duo.

Il y a quelques années, Majid Berhila avait créé une comédie, Les Lascars gays. Gros carton auprès du grand public après, une centaine de passages dans l’émission de Laurent Ruquier On n’demande qu’à en rire et une tournée tout aussi intensive (500 000 spectateurs) !

Lauréat de plusieurs festivals d’humour, il fait notamment la première partie de Kev Adams, Michel Boujenah ou encore Gad Elmaleh.

On le retrouve en télé dans United Colors of Jean-Luc sur Comédie, où il joue l’un des rôles principaux, Yazid, avec Vincent Desagnat, Amelle Chahbi ou encore Claudia Tagbo, une série écrite par Fabrice Éboué, et sur Canal+ dans quelques sketches de l’émission Groland.

Il a également participé à l’écriture de plusieurs textes de détournements d’images pour Ça vaut le détour, un programme court diffusé sur France 2 et sur France 4 dans Pliés en 4, une émission de Cyril Hanouna.

Nous retrouverons Majid Berhila en 2016 à la télé dans un téléfilm sur France 3, Meurtres au mont Ventoux, avec Ingrid Chauvin, et au cinéma dans Amis publics, un film d’Édouard Pluvieux, aux côtés de Kev Adams, Vincent Elbaz et Guy Lecluyse.

Maxime Gasteuil, originaire de Saint-Émilion, entre à 24 ans au Cours Simon, à Paris. Très vite, il s’oriente vers la scène humoristique.

Maxime aime avant tout incarner des personnages qu’il observe dans la vie de tous les jours : Pédro le couturier espagnol, Jean-Loup le chef de chantier, le DJ de boîte de province, la caricature du Parisien, Dédé le patron du PMU de Saint-Émilion, l’homme préhistorique, le client ivre dans un taxi… sont autant de prétextes à une démonstration d’énergie hors normes et à un sens aigu de l’observation.

Il ne ménage pas ses efforts pour satisfaire son public, sa folie schizophrène le rend parfois grinçant mais toujours bienveillant.

Après un DESS de psychologie clinique option psychanalyse, elle quitte Freud et Lacan pour Abidjan, où elle exerce deux ans comme directrice de clientèle dans une grande agence de publicité.

Rien à voir, certes, mais elle n’avait pas fini de faire des grands écarts, puisque, après être revenue à Paris, elle quitte le monde merveilleux de la pub pour la scène. Beaucoup de projets de comédienne se sont ainsi succédé sans déclencher un succès mondial, mais lui ont permis de tester que, oui, elle a le pouvoir de faire rire. Elle décide d’aller chercher son camarade Pascal Rocher pour créer Les Kicékafessa et tenter de conquérir Laurent Ruquier et On n’demande qu’à en rire, le 10 mars 2011. Plus de 50 passages plus tard, 3 saisons de télé, un spectacle collégial au Casino de Paris et plus de 450 représentations de Nous deux, la pièce qu’ils ont écrite ensemble, Les Kicékafessa se séparent. Un nouveau chapitre s’ouvre dans la vie de Sandra. Elle prend son courage à quatre mains et écrit son spectacle personnel à elle-même. Sandra Colombo, elle a tout d’une grande naît le 18 janvier 2015. Depuis, il a beaucoup évolué, beaucoup progressé et a même subi un lifting de son titre et de son affiche. Mais pas Sandra, dont les outrages du temps n’entament pas l’immense beauté mondialement connue (maman, il faut que tu arrêtes d’écrire des phrases dans ma biographie). Sandra Colombo, elle a tout d’une grande (mais y a toujours des trucs qui la dépassent)… poursuit sa route, poursuit son chemin.

En parallèle, elle poursuit sa carrière de comédienne et d’auteure, à la télévision, au cinéma, à la radio.

Comédienne accomplie du théâtre contemporain, premier rôle et auteure-réalisatrice du court-métrage French Kiss, vu sur Canal+ et au Festival du film de comédie de l’Alpe d’Huez, elle se fait connaître du grand public dans la dernière saison de l’émission On n’demande qu’à en rire, sur France 2, en 2014.

C’est au même moment qu’elle joue dans la comédie L’amour est dans le boîtier et qu’un spectateur lui dit : « Je pourrais vous écouter dire des conneries pendant des heures ! » L’idée d’un spectacle germe et elle commence à écrire son premier one-woman-show, qu’elle joue à La Nouvelle Seine.

On peut la voir également sur le Net dans des sketches de Golden Moustache, Studio Bagel, Déconne Cheese et Comedy Hub, et dans la neuvième saison du Jamel Comedy Club sur Canal+.

En 2016, elle fait partie de la troupe de La Grosse Émission sur Comédie +, où on la voit quotidiennement dans le JT.

Céline écrit et joue également dans la comédie Dommages, avec Élodie Poux et Julie Villers, mise en scène par Michel Frenna, à Paris et très prochainement en province.

C’est à 15 ans que Guillaume Sentou fait ses premiers pas au théâtre, lorsqu’il intègre le conservatoire de Saint-Cloud. Il y suit les cours de Tony Jacquot (de la Comédie-Française), qui lui fait découvrir les classiques, notamment Le Cid, de Corneille, pour lequel il obtient le premier prix à l’unanimité ; puis ceux de Valérie Zarrouk, qui le teste dans un univers plus moderne et plus sombre avec le rôle de Roberto Zucco, de Koltès, pour lequel il obtient de nouveau le premier prix, avec félicitations. 

Le bac L en poche, il peut enfin se consacrer véritablement à sa formation d’acteur et intègre les cours professionnels Dominique Viriot.

Après ses trois ans de formation, il reste cinq ans assistant du professeur. Guillaume Sentou multiplie les disciplines artistiques. Entouré de musiciens très jeune, il commence dès l’âge de 8 ans le saxophone, puis, à l’adolescence, la guitare. À 20 ans, la danse entre dans sa vie. Il joue alors le célèbre Puck du Songe d’une nuit d’été, de Shakespeare. Il suit donc une formation de danse classique, puis de jazz, afin d’apporter une dimension physique au rôle.

C’est en 2005 qu’avec Cyril Garnier, son ami d’enfance, il crée le duo Garnier et Sentou. Amis et complices depuis toujours, l’humour a toujours fait partie de leur « culture ». Le chemin du café-théâtre allait de soi et ils se font rapidement une place dans ce milieu. Après des débuts galère, ils jouent au Point-Virgule, dans les festivals, où ils gagnent plusieurs prix. Mais c’est avec l’émission de Laurent Ruquier On n’demande qu’à en rire que le succès arrive.

Ils finissent par remplir de grandes salles comme La Cigale et Le Trianon.

Jean-Luc Moreau leur propose une pièce pour le Théâtre de la Michodière : À deux lits du délit, avec Arthur Jugnot, qui rencontre un énorme succès à Paris et en tournée. Arthur Jugnot les met ensuite en scène dans un autre succès, Les Grands Moyens, au théâtre de la Gaîté-Montparnasse. Il rencontre aussi Éric Métayer, qui l’initie à la discipline de l’improvisation, une nouvelle voie dans laquelle il se sentira très inspiré. Fort du succès de leurs spectacles en duo, Garnier et Sentou font Avignon au Théâtre des Béliers. C’est là que Guillaume rencontre Alexis Michalik, qui lui propose un rôle dans sa nouvelle création.

Depuis septembre 2016, Guillaume Sentou incarne Edmond Rostand dans la pièce Edmond, au Théâtre du Palais-Royal.

Cyril Garnier est né en 1980 et a grandi en banlieue parisienne.

Il entame des études scientifiques, qu’il abandonne rapidement pour entrer au cours d’art dramatique Dominique Viriot en 2000. Il fait ses armes dans des pièces de café-théâtre.

En 2005, il crée avec Guillaume Sentou, son ami d’enfance, le duo Garnier et Sentou. Ensemble, ils écument toutes les salles parisiennes, du Point-Virgule au Trianon, et seront révélés au grand public en participant pendant près de quatre ans à l’émission On n’demande qu’à en rire, créée par Laurent Ruquier en 2010 sur France 2. 

Dans le même temps, Cyril Garnier joue au théâtre sous les directions de Jean-Luc Moreau, Arthur Jugnot ou Éric Métayer. 

Il tourne aussi dans quelques séries comme Nicolas Le Floch, La Vie devant elles ou Alex Hugo.

Il est actuellement à l’affiche de Piège mortel, aux côtés de Nicolas Briançon et Virginie Lemoine, au théâtre La Bruyère, et il vient de terminer l’écriture de sa première pièce, Perdue dans l’arène.