- Une série « chorale » constituée de 20 rôles principaux
- Environ 2 400 cachets figurants sur la totalité du tournage
- 700 costumes. Une équipe d’une dizaine de personnes en permanence en moyenne sur le plateau. Un atelier pour la création de la patine, la teinture, la fabrication de chapeaux, etc.
Un espace de stockage de 500 m2.
- Une centaine de personnes en tout, préparation comprise, ont œuvré aux décors.
Les tournages ont eu lieu sur 10 décors principaux situés principalement à Lille, Valenciennes et leurs environs, dont 3 vrais sites miniers. Les exploitations minières en France étant abandonnées, la production a acheté 22 tonnes de charbon en Pologne. Les scènes d’inondation ont été tournées en studio piscine en Belgique (aucun élément ne devant flotter, le décor immergé a été entièrement construiten acier et en plâtre ce qui est peu commun). Un de nos vrais décors miniers dont les chevalements menaçaient de s’écrouler nous a contraint de changer de décor à la dernière minute.
- Transformation d’un fort militaire de 1870 en coron avec pose des toitures sur les fortifications.
- Déversement de 5 tonnes de boue dans la rue principale de Marchipont pour la ramener au XIXe siècle et re-plaquement des façades des maisons.
- Transformation d’une ancienne gare en estaminet.
- Construction d’un mur d’enceinte de site minier en fausses briques de 30 m de long.
- Transformation de 1 200 m2 de sol d’extérieur mine pour le rendre identique à 1880 et remise en état à l’issue du tournage.
- Une moyenne de 80 à 115 techniciens au quotidien, et jusqu’à 76 techniciens en renfort sur les plus grosses journées de tournage
Un minimum de 17 tests PCR ont été effectués sur le plateau pour l’ensemble de l’équipe technique et artistique
1 000 masques par semaine en moyenne, et jusqu’à 1 500 masques hebdomadaires lors des semaines de grosses figurations