Édito d’Hervé Hadmar

Romance, c’est avant tout une proposition d’évasion. Sortir d’un espace-temps pour retourner « comme par magie » dans les années 60.
Jérémy (Pierre Deladonchamps) vit à Paris en 2020. Mal dans sa vie, mal dans son époque, il tombe sous le charme d’une femme sur une photo. Cette femme, Alice (Olga Kurylenko), a vécu à Biarritz dans les années 60.
Qui est Alice ?
Comment la retrouver ?
Romance, c’est une histoire d’amour, envoûtante et mystérieuse, qui, petit à petit, se transforme en thriller.
Une (modeste) tentative d’hommage au merveilleux Plein soleil de René Clément (1960) ou encore au chef-d’œuvre d’Hitchcock : Vertigo (1958).

Un hommage aussi à la musique, très présente dans la série. 
Car, oui, Romance est aussi une série « musicale ». Tony (Simon Abkarian) y dirige Le Wonderland, un club de rock et de jazz. Lui aussi est amoureux d’une très belle femme : Margaret (Barbara Schulz).

Voyager dans le temps, grâce à la musique, pour rencontrer celle ou celui que l’on est destiné à aimer…
Peut-être suffit-il de croire aux belles histoires pour qu’elles arrivent vraiment.
 

Hervé Hadmar