Antoine Le Tenneur et Joakim Arlaud nous entraînent avec des photos et des films d’archives dans l’histoire de l’élevage bovin calédonien.
De l’arrivée des premières « têtes de bétail » au milieu du XIXème siècle à l’enracinement d’une culture de l’élevage broussard ! L’importation réussie des traditions des « stockmen » australiens, la vie dans les stations, les grandes conduites de troupeaux, la mythique propriété de Ouaco… tout un pan de l’histoire calédonienne s’est écrit dans ces vastes plaines de l’ouest de la grande terre. « Fers rouges et barbelés » un retour sur cette culture… toujours vivante !
Quel est le nouveau concept de cette deuxième saison ?
Le concept reste inchangé puisque ce seront toujours des images d’archives souvent inédites, un commentaire historique et un référent interviewé sur le sujet. L’an dernier nous avions exploré l’histoire contemporaine de la Nouvelle- Calédonie. Cette année, avec le monteur Koakim Arlaud, nous proposons une vision patrimoniale sur des thèmes comme l’élevage bovin, la sage du café, l’évolution de Nouméa et l’épopée du nickel…
Dîtes nous en plus sur ce premier numéro ?
« Fers rouges et barbelés », le titre de ce premier « Les chemins de l’Histoire » revient sur plus de 150 ans d’élevage bovin calédonien. De l’introduction des premières têtes de bétail jusqu’à l’enracinement d’une « culture broussarde ».
Collectez-vous toujours des archives filmées privées ?
Oui !! Dans ce premier numéro, nous retrouverons des images inédites des années 50 que nous ont prêtées des familles calédoniennes. C’est l’occasion de faire un appel à tous ceux qui en possèdent encore. Ils peuvent nous contacter et nous numériserons ces films 8 ou 16mm avant de leur rendre. Une forme de contribution directe à la mémoire calédonienne. Vous pouvez me contacter via mon mail antoine.letenneur@francetv.fr
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