Ma Terre pour demain - Saison 2

"Plus belle ma terre" change de nom et s'appelle désormais "Ma terre pour demain". Dans cette seconde saison inédite, le réalisateur continue dans la même veine que la première, en suggérant d'avantage aux téléspectateurs d'opérer « un retour aux sources ».

Episode 01 Romain BEAUCLAIR-MARIOTTI / Nouméa

Trouver l’harmonie entre ses convictions et sa façon de vivre : c’est ce que Romain réalise avec la colocation. Le collectif au service de l’écologique.  Dans cette maison citadine, dans ce jardin urbain, tout est pensé pour s’intégrer dans le paysage. Recyclage, respect de l’environnement, revalorisation des déchets sont autant de principes qui organisent tous les gestes du quotidien. Ainsi, tous ensemble, les colocs tissent du lien social en dépiotant le coton qui pousse dans le jardin…

Episode 2 : Dan MALAVAL/ Païta

Même lorsqu’ils sont de passage, les voyageurs contribuent à la préservation de l’environnement. Chez Dan, le gîte est organisé afin de favoriser les bons réflexes. Le tri sélectif des déchets est le résultat d’une initiative privée, avec prise en charge des bacs de récupération et du transport. Chaque logement produit sa part de compost, et afin d’éviter le gaspillage d’eau, chacun récupère le moindre seau d’eau pour arroser le jardin… Du coup, tout le monde joue le jeu, et les voyageurs, installés dans un cadre magnifique, se régalent de bons petits plats à base de produits locaux…

Episode 3 : Adèle DEBORDE / Dumbéa

Adepte de la culture sans pesticide ni engrais chimique, Adèle nous propose une recette issue de ses expériences et de son savoir-faire, pour réaliser un pot « autofertile ». A l’aide d’un vieux tissu, d’un tuyau habilement percé, et d’un subtil mélange de  sable, de terre, de terreau, de composte et de bois sec, elle créée un écosystème idéal pour faire pousser en pot les plantes de votre choix. Vous n’aurez plus qu’à y déverser quelques déchets verts pour l’alimenter… Suivez donc les conseils d’Adèle, c’est le succès assuré !

Episode 4 : Anthony CHITTY / La Foa

Parce qu’il tend vers l’autonomie énergétique et alimentaire, c’est à dire, l’autosuffisance pour sa famille, Anthony est déjà un habitué de l’énergie solaire et éolienne. Il pratique la permaculture, et produit une impressionnante diversité de fruits et légumes sur une terre argileuse et peu hospitalière. Mais il ne s’arrête pas là. Vous connaissez l’électroculture ? Porté par la curiosité et un esprit innovant, il développe des expériences peu banales : entre les mûriers, les corossols et les orangers, un ingénieux système amplifie le champs magnétique terrestre… et les plantes adorent ça !