Ils étaient 10 sélectionnés après la phase de casting. Après 5 semaines d’épreuves qui les place dans les conditions réelles de chefs d’entreprise, 4 candidats sont prêts à se mesurer pour la demi-finale de OSE TA BOITE. Pour les départager, un jury de professionnels Calédoniens reconnu :
• Valérie Zaoui, gérante d'entreprise de nettoyage
• Kenzo Vendegou, conseil en création d'entreprise
• Claudia Jeandot, fondatrice de structures d'accueil pour enfant et
• Gaël Michel-Villaz, entrepreneur dans le secteur du transport et de la logistique
Pas de tirage au sort pour déterminer les équipes dans cette demi-finale de OSE TA BOITE. Les candidats vont faire cavalier seul et seront évalués sur leurs capacités à s’adapter à des tâches inhabituelles…Des tâches, car cette fois, ce n’est pas une épreuve, mais trois que les candidats vont devoir affronter. Et il va falloir plus que de l’adaptabilité à nos chefs d’entreprises pour mener à bien leur mission. Reste à savoir lesquels d’entre eux gagneront leur place en finale !
Claudia Jeandot, membre du jury d’Ose ta boîte
Elle était pour la première fois membre de jury, et c’est avec enthousiasme que Claudia Jeandot a participé à l’émission Ose ta boîte.
Comment avez-vous vécu le tournage ?
Claudia Jeandot : Cela a été deux semaines en autarcie. Deux semaines durant lesquels nous avons été entourés, accompagnés, conseillés. C’était très riche de rencontres, de découvertes de domaines dont on parle peu. En tant que jury nous devons voir comment aider les candidats qui croient en leur projet à 10 000 %, mais qui parfois ont quelques faiblesses. Notre rôle est d’en éliminer chaque jour. C’est loin d’être facile. Mais pour cela, nous sommes entourés de professionnels qui nous permettent d’affiner nos choix. Ils assurent des ateliers de mises à l’épreuve individuelle (sur le business plan, le pitch, la publicité, la PAO) et nous guident sans pour autant nous orienter.
Sur le plan personnel, qu’en retirez-vous ?
C. J : En tant qu’entrepreneur, nous apprenons beaucoup. Personnellement, j’ai suivi tous les ateliers. Soyons honnête, je suis sortie de l’école de commerce en 1995, et depuis, les choses ont bien évolué, voire même certaines n’existaient pas ! Du coup, c’était vraiment très intéressant. Et puis, je trouve que dans le contexte actuel, rencontrer dans personnes qui ont des projets, qui y croient, et qui entreprennent, c’est extrêmement enrichissant.
Un message pour de futurs entrepreneurs ?
C. J. : Tout est possible à condition d’y croire !