Dossier de presse – Eurovision France 2021 – C’est vous qui décidez !
21 Juin Le Duo – « Peux-tu me dire ? »
Venu tout droit de La Clusaz, en Savoie, ce duo est composé de Julien et Manon, 31 et 39 ans. Ces deux musiciens se sont rencontrés un 21 juin il y a cinq ans, au bord du lac d’Annecy, et sont rapidement tombés amoureux. Julien travaillait dans la finance à La Défense, Manon avait pour habitude de chanter la fenêtre ouverte dans l’espoir de se faire repérer… Ensemble, ils ont décidé de changer de vie et se sont installés dans les Alpes pour écrire, composer et se produire ensemble (on a notamment pu les voir sur scène en première partie du groupe Trois Cafés gourmands). Leur titre pop « Peux-tu me dire ? » interroge sur la nécessité de se mobiliser pour lutter tous ensemble contre le changement climatique, un enjeu auquel ils ont été sensibilisés en observant la disparition des abeilles et de la neige dans leurs montagnes.
Ali – « Paris me dit (Yalla ya helo !) »
Né au Liban, Ali a grandi en temps de guerre, avant d’arriver en France il y a six ans. Il ne se destinait pas forcément à une carrière d’artiste, mais le pays des Lumières l’a aidé à se révéler. Aux côtés du groupe Hyphen Hyphen, touché par son histoire, il a écrit son titre « Paris me dit (Yalla ya helo !) » – Allez viens mon beau ! –, avec lequel il souhaite faire danser l’Europe. Un message d’espoir pour celui qui vient ici réaliser ses rêves !
Amui – « Maeva »
Le trio Amui, composé de Ken Carlter, Vaheana Fernandez et Eva Ariitai, nous vient tout droit de Polynésie et souhaite faire voyager tous les Français dans le Pacifique avec la chanson « Maeva ». Ce titre ensoleillé, qui mêle le français et le polynésien (« maeva » se traduit par « bienvenue » en français), est une invitation à la célébration et à la découverte de l’autre, rythmée par des instruments traditionnels et le célèbre haka. Ken Carlter est déjà doté d’une certaine popularité à Tahiti : ancien mannequin, cet auteur-compositeur a été numéro un du top 30 radio local et a fait partie du boys band ManaPacific. Eva Ariitai est pour sa part présentatrice télé sur la chaîne Polynésie La 1ère.
Andriamad – « Alléluia »
Andriamad, duo à mi-chemin entre l’électro et les sonorités tropicales, se compose de Cécile, fleuriste dans la vie de tous les jours, et de Kévin, ancien charpentier. Ces deux amis qui écrivent, composent et produisent leurs chansons eux-mêmes, ont créé Andriamad il y a quatre ans – le nom du groupe est une référence au nom de famille de la grand-mère de Cécile. Leur titre, « Alléluia », est une ode au partage des cultures et à l’ouverture aux autres, des valeurs qui sont chères aux deux musiciens eux-mêmes métissés, Cécile ayant des origines réunionnaises et malgaches, et Kévin des origines tunisiennes et polonaises.
Barbara Pravi – « Voilà »
Artiste engagée, Barbara Pravi s’est fait connaître du grand public en postant chaque année sur ses réseaux sociaux des réécritures féministes de chansons de rap, à l’occasion de la Journée internationale des droits des femmes. Cette autrice-compositrice-interprète d’origine serbo-iranienne a déjà écrit pour de nombreux artistes (Yannick Noah, Chimène Badi…) et signé les deux dernières chansons de la France à l’Eurovision Junior : « Bim bam toi » de Carla en 2019, ainsi que la chanson gagnante de l’édition 2020, « J’imagine » de Valentina. Dans son titre « Voilà », Barbara Pravi se présente à nous, elle, l’artiste longtemps restée dans l’ombre, nous livrant ses émotions en s’inspirant de la grande chanson française à la Brel ou Piaf.
Casanova – « Tutti »
Casanova a grandi en Corse, où il a pendant plusieurs années fait partie d’un groupe de musique folklorique. Représenter la culture de son île est une mission pour lui, et avec son titre « Tutti » (qui se traduit par « tous » en corse), il souhaite rassembler les gens pour leur faire partager sa joie de vivre. Son but : représenter sa petite île de Beauté sur la scène de Rotterdam.
Céphaz – « On a mangé le soleil »
Né au Ghana, Céphaz y a vécu jusqu’à ses 10 ans. Il a ensuite été adopté, a déménagé en Afrique du Sud, puis à Mayotte, pour finalement arriver en France métropolitaine à l’âge de 20 ans. La musique s’est rapidement imposée comme un refuge pour lui, et lui a permis, grâce à son optimisme et son courage, de sortir de nombreuses difficultés. Après un premier single très relayé sorti à l’été 2020, le chanteur souhaite tenter l’Eurovision avec son titre « On a mangé le soleil ». Cette chanson folk parle de surconsommation, un thème important pour Céphaz, qui a pu en observer les conséquences lors de son enfance passée en Afrique.
Juliette Moraine – « Pourvu qu’on m’aime »
Habituée de la scène, Juliette Moraine joue depuis près de quatre années l’un des rôles principaux dans la comédie musicale Roméo et Juliette, en tournée en Asie et en Russie. Cette autrice-compositrice-interprète originaire de Bourgogne se livre à cœur ouvert dans sa balade au piano « Pourvu qu’on m’aime », une chanson pleine de sincérité sur son besoin d’être aimée et ses complexes qu’elle a mis du temps à apprivoiser.
LMK – « Magique »
Après avoir fait le conservatoire de harpe à Annecy, LMK (de son vrai nom Eve-Line) prend un chemin peu conventionnel en s’orientant vers le reggae dancehall. Elle découvre ce genre musical dans la cour de récré et en tombe rapidement amoureuse, puis s’y fait un nom en écumant les festivals internationaux de renom, notamment Glastonbury, au Royaume-Uni, et Dour, en Belgique, et en faisant des tournées en Amérique du Sud. Son titre, « Magique », mêle de manière surprenante sa première passion, la harpe, et le reggae dancehall. Une chanson aux allures de véritable hymne pour les femmes : LMK souhaite les inciter à s’assumer, à se sentir capables d’affronter toutes les adversités et à laisser s’exprimer la magie qui se cache en elles.
Philippine – « Bah non »
Autrice-compositrice-interprète et multi-instrumentiste, Philippine s’est fait connaître en 2019 avec « C’est beau, c’est toi », titre écrit pour elle par Slimane, puis en décrochant un disque d’or pour son duo avec Gavin James (« Always »). Si elle est originaire du Jura, la cadette des artistes a passé une partie de son enfance à Toronto, au Canada, avant de déménager à Lyon, puis de s’installer au Cap-Ferret – des voyages qui l’ont beaucoup inspirée musicalement. Philippine a écrit son titre pop rock « Bah non » après une déception amoureuse afin d’évacuer sa colère, et en partageant ses émotions, elle aimerait toucher les Français et faire parler son cœur sur la scène de l’Eurovision.
Pony X – « Amour fou »
Pony X, c’est un projet musical un peu fou composé de Clarence et d’un… poney DJ. Clarence, chanteur d’origine martiniquaise, a passé plusieurs années en Floride, aux États-Unis, où il s’est formé au gospel, avant de revenir en France. S’il s’est déjà illustré sur scène, notamment aux côtés d’artistes tels qu’Ofenbach, il a cette fois-ci décidé de s’allier à un DJ à tête de poney. Ce poney, c’est toute la fougue et la liberté qui coulent dans les veines de Clarence, mais aussi son enfance passée dans la Creuse, où son meilleur ami n’était autre qu’un poney. Avec leur titre « Amour fou », Pony X souhaitent insuffler ce même vent de liberté sur l’Eurovision. Leur souhait : faire danser les gens, sans prise de tête (… de poney ?).
Terence James – « Je t’emmènerai danser »
Terence James est né en Écosse, d’un père écossais et d’une mère anglaise. S’il apprécie porter des kilts dès qu’il en a l’occasion, il se plaît à dire que son cœur est bien français, puisqu’il vit dans l’Hexagone depuis son enfance. C’est la richesse de ses trois cultures qui inspire Terence et influence sa musique. Avec « Je t’emmènerai danser », titre pop rythmé de cornemuses, le chanteur rend hommage à sa terre natale et invite les gens à oublier leurs problèmes le temps d’une chanson.