A partir du 15 février, Lorelei Aubry rejoint l’équipe de présentation du journal télévisé, l’émission la plus regardée de Nouvelle-Calédonie avec 82 300 spectateurs chaque soir, soit 71 % de part d’audience*. Consciente du défi qui l’attend, la journaliste nous livre ses impressions.
Vous rejoignez l’équipe du JT à partir du 15 février, comment abordez-vous cette nouvelle expérience ?
C’est une grosse pression pour moi car j’ai vraiment à cœur de maintenir la qualité de cette émission. Je vais faire mon possible pour être à la hauteur des autres présentateurs que j’admire tant. Pour être honnête, je ne suis pas encore complètement à l’aise après quelques éditions mais j’ai reçu des retours assez positifs de la part de mes collègues qui m’ont donné plein de conseils. Tout cela est très stimulant !
Depuis quelques années, on vous a surtout vu sur le terrain, allez-vous continuer ?
Bien sûr ! Le terrain, c’est vraiment le cœur de mon métier et c’est important pour moi de continuer. Je vais présenter le journal en alternance avec Thérése Waia. Une semaine sur deux, je serai donc sur le terrain.
Plus de 80 000 personnes vont vous suivre chaque soir, comment gérez-vous cette notoriété ?
Ça fait partie du jeu. Avant d’être journaliste, j’étais animatrice et j’ai été, en quelque sorte, confrontée à la critique. Aujourd’hui, j’essaye de ne pas trop lire ce que l’on dit de moi. Mais en fait, je ne me pose pas vraiment la question comme ça. Je suis surtout soucieuse de maintenir la qualité du journal et les audiences. C’est vraiment ce qui m’importe.
* Source : Médiamétrie 2020
Le journal télévisé de NC1ere fait sa rentrée le 15 février. Une nouvelle formule présentée par en alternance par Thérèse Waïa et Loreleï Aubry en semaine. Le week-end, c’est Nadine Goapana, Yvan Avril ou Laurence Pourtau qui tiendront la barre.
Parmi les nouveautés : la présence systématique de chroniqueurs ou d’experts en plateau pour donner les clés de compréhension de l’actualité ou encore la part belle faite au sport avec notamment une page de 13 minutes dans l’édition de lundi.