Anne Reverberi
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Dossier de presse
L'ÉCOLE
Pour une saison, ce documentaire du réel nous plonge au cœur des coulisses de école. Durant un an, les élèves vont vivre des sensations en "roller coasters", ou comment appréhender les doutes qui traversent leur génération et les rêves qui animent l’époque. Ce docu-réalité est l’occasion d'essayer de mieux comprendre et d'interroger ces jeunes artistes en herbe.
Les élèves sont suivis au quotidien, dans le cadre de leur formation, et lors d'événements extérieurs à l'école, en lien avec leur apprentissage mais sans incursion dans leur vie privée. C’est leur parcours en tant qu’élève de l’école qui motive l'existence de cette série documentaire.
Mettre en valeur les notions de travail, d'effort, d'investissement et de dépassement de soi
L'idée étant de coller parfaitement à la réalité des élèves de l’école, en montrant à quel point il est nécessaire pour ses "aspirants artistes" de travailler de façon intensive. L'idée étant de coller parfaitement à la réalité des élèves de l’école, en montrant à quel point il est nécessaire pour ses "aspirants artistes" de travailler de façon intensive.
La série ne transforme pas la réalité et le quotidien de jeunes, au contraire elle montre qu'ils sont encore dans une période d’apprentissage ou rien n’est laissé à la pensée magique, mais beaucoup au travail, à la répétition des efforts et à l’engagement personnel.
La découverte d’un univers plus connu pour son coté paillettes et moins les coulisses pour y parvenir
Les élèves comme les spectateurs ne se rendent pas forcément compte de l’ensemble et de la diversité des métiers de la filière musicale que cette formation permet de découvrir.
La série permet de comprendre que la chanson ne représente pas uniquement les chanteurs, mais une foule de métiers qui sont tout aussi passionnants.
De plus, pour exercer un métier dans l'industrie musicale, il faut aussi appréhender les nombreuses autres connaissances techniques (juridique, sociale, etc...
Le rapport aux écrans, aux différents réseaux sociaux et la constitution d’une identité
C’est une question essentielle de la série : comment vont-ils construire leur image sur les réseaux sociaux ? Comment leur approche de ce mode de communication va-t-elle être modifiée par une possible carrière qui les attend ? Comment vont-ils vivre cette expérience immersive et la partager avec leurs proches et sur leurs réseaux ?
Dans ce doc du réel, les enjeux ne sont pas scénarisés/fabriqués mais s’appuient sur les différentes échéances (répétitions, évaluations, concerts, manifestations, prestations scéniques diverses) qui vont jalonner la scolarité des élèves, permettant une progression des histoires de la bande mais aussi de chacun en les confrontant à des problématiques variées.
Au final, nous assistons à la photo instantanée d'une génération d'artistes en devenir au cœur de leur époque !
ITW Roberto Ciurleo, président et fondateur de l’école
Pourquoi avoir voulu créer cette école de chant ?
Ce n’est pas une école de chant. C’est une école pour les métiers du chanteur. Ça n’a rien à voir. Et c’est justement ce qui fait toute la différence.
Moi je viens de l’univers de la radio, notamment chez NRJ, et ensuite je suis devenu producteur de spectacle et je me suis rendu compte que les artistes qui se présentaient devant moi lors des castings n’étaient pas suffisamment formés. ça ne suffit pas de savoir chanter. Il faut être entouré, il faut se connaître.
Et c’est ça qu’on enseigne à nos élèves. Ils ont un an pour se trouver et s’entourer.
Les liens qui se nouent entre les élèves et les professeurs, la direction de l’école sont particulièrement forts. Comment expliquez-vous cela ?
La matière première de notre travail, c’est le talent. Et ça c’est très précieux. On joue avec les émotions, et ça c’est plus fort que tout.
Pour nos élèves, pour ces artistes en devenir, chanter, s’exprimer, composer, c’est vital. C’est comme respirer. Du coup, nous on recueille toutes ces émotions et on ne peut pas dire : « Le cours est terminé, that’s it »… On est une famille.
Avec les bouleversements dans l’univers de la musique, le streaming, les réseaux sociaux, est-ce que cette école a encore plus de raison d’exister aujourd’hui qu’il y a 20 ans ?
Complètement. Parce qu’aujourd’hui tout le monde a compris que chanter est un métier. Et qu’il suffit d’une rencontre, d’un déclic pour que tout bascule.
Et nous, nous sommes un accélérateur. Un programme immersif, mais entièrement tourné vers l'extérieur. Tout ce que nous faisons à l'intérieur de l’école a un sens à l'extérieur.
